C'était l'été, nous étions en vacances en famille dans la belle villa très confortable d'un de mes oncles. Ce matin là, alors que la chaleur était déjà au rendez-vous, nous n'étions que 3 dans la maison, les autres avaient décidé de partir très tôt en ballade pour la journée et nous nous sommes retrouvés, ma cousine Caro, ma tante Françoise et moi à la cuisine pour le petit-déj. Lorsque je suis entré, Caro était déjà assise à table. Je l'avais toujours trouvé mignonne mais elle était encore plus jolie que d'habitude ce matin là. Elle ne portait qu'une petite culotte en coton blanc et un t-shirt assez court pour laisser apparaître son nombril et assez moulant pour qu'on devine sa petite poitrine pointue. Quant à moi je ne portais qu'un caleçon. Nous avions le même âge, 18 ans tout juste et enfants, nous avions un peu joué à touche pipi ensembles, jamais rien de plus, mais ces souvenirs étaient encore présents pour moi. Je devais apprendre par la suite que tout comme moi elle était encore vierge. J'étais debout appuyé contre l'évier en train de manger un yoghourt lorsque ma tante Françoise est entrée dans la cuisine, j'en ai presque lâché ce que j'avais dans la main. Elle était magnifique et ne portait qu'une nuisette qui semblait bien courte sur ses jambes interminables. Depuis tout petit elle me faisait fantasmer et plus d'une fois je m'étais masturbé en pensant à elle mais cela faisait plusieurs années que nous ne nous étions pas vus car elle vivait aux USA. Elle était divorcée depuis quelques mois et venait nous rendre une visite en France, elle n'était parmi nous que depuis deux jours et c'était la première fois que je la voyais aussi court vêtue.
- Bonjour mes chéris, dit-elle en entrant, alors, on dirait qu'on est que tous les 3 ce matin, on va pouvoir faire connaissance, ça fait tellement longtemps qu'on ne s'est pas vus, vous avez beaucoup grandis tous les 2.
- Toi, par contre, dit Caro, tu es toujours aussi belle.
- Oh comme c'est gentil ma chérie.
- Si, si c'est vrai dit Caro, je le pense, j'aimerais beaucoup avoir une poitrine comme la tienne tu sais, les miens sont si petits dit elle en tirant sur son t-shirt pour qu'on devine mieux ses petits seins. Les tiens ont l'air vraiment magnifiques, bien ronds et gros en plus.
Et bien, ma cousine est bien coquine ce matin, pensais-je. Apparemment je n'étais pas le seul troublé par la beauté de ma charmante tati.
- Ooh tu vas me faire rougir Caro, qu'en penses-tu toi Laurent, tu trouves ça mignon toi les petits seins ?
Je ne pus bafouiller qu'un "heuu benn heuu ooui c'est mignon aussi ", mais j'étais très gêné car mon caleçon avait bien du mal à contenir mon érection que je cachais avec mes mains.
- Ooh regarde ça Caro, dit Françoise, et ben mon chéri, qu'est ce qui te met dans des états comme ça, tu as jamais vu une paire de seins ou quoi ?
- Heuu si mais heuu c'est votre tenue aussi qui me fait ça et votre discussion...
- Tu sais il est encore puceau dit Caro en riant.
- Ooh c'est pas vrai, mon pauvre chéri, mais c'est vrai que tu as que 18 ans, je suis bête et toi Caro tu es vierge aussi ?
- Ben oui dit elle en rougissant un peu.
Ma tante se mit à sourire et quelque chose lui passa par la tête à ce moment là. Elle dit, " bon, pour en revenir à notre discussion, ma chérie, même si tes seins sont petits, je suis sûre qu'ils sont très mignons. Bon et puisqu'on a un jeune homme innocent avec nous, il va nous donner son avis. Allez Caro retire ton t-shirt et montre nous ta jolie poitrine.
- Ooh non j'ose pas quand même, ici, comme ça ?
- Mais oui voyons, ne sois pas si prude, tu es tellement mignonne ma chérie et puis il faut bien que Laurent apprenne à comparer. Allez n'aies pas peur et je montrerais les miens aussi, si tu veux.
Ce fut plutôt cette dernière phrase qui décida ma jolie cousine. Sans doute elle aussi avait très envie de voir la poitrine de notre tante qui semblait superbe. Caro rougit un peu nous regarda l'un et l'autre et dit " oh après tout on est en famille " et en souriant elle retira son t-shirt. Sa poitrine était très menue mais pointue, ses ptits tétons étaient encore très clairs et semblaient fragiles comme des boutons de rose.
- Ooh comme ils sont mignons tes seins ma chérie dit Françoise en lui titillant un téton du bout des doigts, ooh regardez-moi ses ptits bouts qui se dressent quand on les touche.
- Humm c'est vrai qu'ils sont mignons, dis-je en gardant toujours les mains sur mon caleçon tant pour cacher mon érection de puceau que pour sentir la chaleur de mes mains sur mon sexe dur.
- Il va falloir que tu nous montres les tiens maintenant dit Caro en souriant, se laissant caresser les pointes par notre tante.
- Tu es coquine dis donc, mais oui votre tati préférée va vous les montrer, mais il faudra garder tout ça pour nous hein ? J'ai pas envie que vos mamans me fassent la morale. Et puis allons au salon nous serons plus à l'aise.
Nous nous installâmes confortablement à demi nus, dans les canapés du salon doucement éclairé par la grande baie vitrée qui donnait sur la forêt. Caro et moi étions sur le même canapé, elle, les seins nus aux pointes érigées et moi dans mon caleçon dressé comme une toile de tente. Françoise, assise en face, nous sourit et fit glisser sa nuisette doucement sur ses seins et la laissa choir entre ses cuisses pour cacher son minou qu'aucune culotte ne protégeait. Sa poitrine était encore plus belle que nous l'imaginions, de beaux seins bronzés ronds, gros juste comme il faut avec de belles auréoles et de gros tétons comme je les aime. Caro et moi sommes restés bouches bées.
- Alors ils vous plaisent ? A voir vos têtes ça en à l'air ! Ça me fait plaisir, vous êtes tellement mignons tous les deux. Et ben Laurent, dit quelque chose...
- Heuu ils sont magnifiques dis-je, Caro me donna un petit coup de coude, mais ceux de Caro aussi, rajoutais-je.
- Tu en as de la chance dit Françoise, d'avoir 2 jolies femmes qui te dévoilent leurs charmes pour toit tout seul, hein mon ptit puceau. Ooh mais, Caro regarde moi ça comme Laurent à l'air serré dans son caleçon, le pauvre, ça doit lui faire mal. Allez viens t'asseoir à coté de moi mon chéri, il va falloir que tu nous montres ça aussi. Rougissant, je me suis assis à côté de tati.
- Allez retire tes mains de là dessus me dit-elle. Caro tu as déjà vu un sexe d'homme ?
- Non jamais en vrai dit-elle.
- Bon et bien ton cousin va te montrer ça.
Elle ouvrit mon caleçon et dégagea mon sexe raide.
- Oh mais il a une bonne taille pour ton âge et ces belles boules ont l'air bien pleines dit elle en les prenant dans sa main. Tout en les faisant rouler entre ses doigts elle dit : alors Caro, comment le trouves-tu le zizi de ton cousin ?
- Oh il est gros.
- Oui pas mal c'est vrai mais je suis sûre qu'on peut faire mieux encore. Regarde.
Elle commença à me masturber et me dit "humm je suis sûre que tu te branles souvent hein coquin ? " Je lui avouai que oui et que je le faisais en pensant à elle. " Ooh comme tu es gentil, je suis flattée, me dit-elle. Alors ils te plaisent mes seins, et bien puisque tu es si gentil, tu peux les toucher ". Elle ne pouvait m'offrir meilleure récompense et je pris ses seins à 2 mains pour bien les peloter et jouer avec les bouts. Elle n'avait pas arrêté de me décalotter et mon sexe était encore plus dur.
- Viens Caro approche-toi, donne-moi ta main, caresse la verge de ton cousin, tu sens comme il est dur. Voilà laisse toi faire, apprends comment on masturbe un garçon. Il faut bien décalotter le gland.
Quel bonheur pour moi de sentir sur mon sexe la main de ma cousine guidée par celle de ma tante !
- Bien ma chérie continue comme ça on va le faire jouir, dit Françoise en caressant les cuisses de ma cousine.
Moi, aux anges, je caressais une poitrine, puis l'autre et me mis à téter les gros bouts de ma tante.
- Humm ooh mon chéri tu es doux, humm. C'est bien Caro toi aussi, accélère le mouvement il va venir.
Ma cousine, elle aussi très excitée branlait mon sexe de plus en plus vite humm j'étais comme un fou, je me mis à respirer de plus en plus fort et je jouis en poussant un râle...
Les doigts de Caro étaient pleins de sperme, ma tante dit : " hoo voilà qui est parfait Caro, et toi Laurent tu as aimé ça heinn, elle est coquine ta cousine. " Je dis humm oh oui j'ai toujours eu envie que vous me fassiez ça toutes les deux. Françoise, d'un air très lubrique prit la main de Caro et lui lécha les doigts, puis elle prit mon sexe dans sa main et me nettoya avec sa langue. Humm vous voilà propre maintenant, mais la leçon n'est pas terminée mes chéris. Nous les dames n'avons pas eu notre plaisir et le pauvre Laurent n'a toujours pas vu le sexe d'une femme.
- Laurent assieds-toi par terre, Caro et moi allons t'en montrer un peu plus.
Françoise fit glisser la culotte la culotte de Caro, et me dit : " regarde bien Laurent comment c'est fait une fille " elle écarta les cuisses de Caro qui se laissait faire et sa jolie cramouille m'apparut. Elle était blonde très peu poilue, les lèvres fines. Puis ma tante retira sa nuisette qui faussement pudique lui cachait le sexe. Elle releva une jambe et posa son pied sur l'accoudoir du canapé pour bien me montrer sa chatte. Elle se tourna vers Caro et lui dit " humm tu vois comme il aime le spectacle ma chérie "
- Regarde Laurent, dit elle en me montrant le sexe de Caro qui avait les cuisses grandes ouvertes, regarde le joli berlingot de ta cousine. Là ce sont les grandes lèvres, ça s'ouvre, dit-elle en les écartant, là tu as les petites lèvres et là ce joli bouton c'est le clito de notre Caro chérie et là c'est son vagin. Ooh mais dis donc Caro tu es toute mouillée, ça te plaît de faire connaissance avec ta tati et ton cousin on dirait. Françoise commença à caresser la chatte de Caro puis retira ses doigts, me les tendit et dit " goutte comme elle est bonne la chérie. "
Humm je léchais les doigts de ma tante qui ruisselaient du jus de ma cousine. Françoise ouvrit bien ses cuisses et caressa son propre sexe avec son autre main en me disant
" et mon minou à moi il te plaît Laurent ? " Les poils de son pubis étaient bien taillés, ses lèvres étaient épaisses et son vagin plus ouvert que celui de Caro. Elle prit ma main et la dirigea vers sa chatte toute humide. Pour la première fois je touchais le sexe d'une femme. Françoise masturbait Caro qui gémissait de plaisir la tête renversée sur le canapé et elle m'ordonna de lui faire la même chose. A mon tour je frottais le clito de ma tante et lui introduisait un doigt. Sa chatte dégoulinait de mouille sur mes doigts et je lui tripotais les tétons en même temps.
- Et maintenant tu vas nous lécher ordonna Françoise.
J'en avais très envie et à genoux devant ces dames je commençais par lécher le ptit minou de Caro qui était aux anges, elle se trémoussait et gémissait pendant que Françoise l'embrassait à pleine bouche et lui caressait les seins. J'allais d'une chatte à l'autre, remuant bien ma langue entre les lèvres et sur le clito de ces dames qui se pâmaient de plaisir. Lorsque ma langue quittait une chatte pour l'autre mes doigts la remplaçaient et mes deux amantes ne furent pas longues à jouir en râlant d'extase. Après avoir joui, ma tante, toujours coquette remit de l'ordre à ses cheveux et fit remarquer à Caro que mon sexe était à nouveau bien dur, celle ci s'en empara d'un coup pour me sucer avec gourmandise. Mais Françoise en parfaite maîtresse de cérémonie nous annonça qu'on allait passer aux choses sérieuses. Elle écarta les cuisses me prit par le sexe et me dit maintenant je vais faire de toi un homme. Elle commença par caresser sa chatte avec mon gland puis le fit pénétrer dans son vagin. Je me souviendrais toujours de cette phrase qu'elle me susurra alors à l'oreille : " pousse la bien au fond mon chéri ". Je pénétrais doucement ma tante et me tenant par les fesses elle m'indiqua le rythme à suivre. Humm quel bonheur pour moi de me sentir bien au chaud dans cette chatte que j'avais tant désiré, des nuits durant tenu éveillé par mes fantasmes incestueux.
- Hummm c'est bien comme ça mon chéri humm oui travaille moi bien humm comme ça ouiii plus vite oohh voilà moins vite maintenant humm ouiii accélère. Elle jouit une seconde fois. Mais elle m'interdit de me laisser aller à mon plaisir. Et maintenant à ton tour Caro.
Ma cousine qui se caressait la chatte pendant ce temps étaient bien prête. Elle se mit dans la même position. Françoise glissa ses doigts dans le vagin trempé de la petite chérie pour mieux la préparer encore. Puis elle me pria d'y aller plus doucement. Lorsque je pénétrai Caro de mon sexe, celle ci fit une petite grimace de douleur mais bien vite elle se mit à gémir de plaisir cette fois. Tati me caressait les fesses et embrassait Caro qui jouissait comme une folle. Je respirais de plus en plus fort je gémissais de bonheur bien serré dans cette petite chatte humm, Françoise me vit au bord de l'orgasme et me demanda de me retirer. Elle m'attrapa le sexe et me branla vigoureusement, humm dans un long soupir je jouis sur le ventre de Caro. Nous avions jouis deux fois chacun. Nous nous dirigeâmes alors vers la douche pour nous laver et nous caresser une nouvelle fois.
Le reste de l'après-midi fut plein de caresses, de soupirs, de jouissances et de rires et lorsque le reste de la famille est arrivé de la ballade je ne sais pas qui avait l'air le plus fatigué.
En partant ma tante m'embrassa en me disant " je suis fière d'avoir fait de toi un homme et un bel amant ".
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