Ma fille et mon gendre ont fait de moi une pervertie

Je m'appelle Karinne, j'ai 45 ans et je suis veuve depuis 3 ans, mon mari étant décédé dans un accident de la route.
Avec mon mari, notre vie sexuelle était normale mais depuis sa disparition, et bien que je sois encore très attirante et parfois courtisée, je me contente de masturbations dans mon lit ou devant la télé quand un film propose des scènes érotiques.
Ma fille unique de 24 ans, Claire, vit depuis 2 ans avec Pascal, 28 ans, un garçon gentil, intelligent, charmeur et beau gosse de surcroît. Bref, le gendre idéal et ils ont décidé de se marier à la fin de l'année.
Cet été, ils m'ont proposé de venir me tenir compagnie une semaine à la maison, car il n'avait qu'une semaine de vacances et guère riches, ils ne pouvaient partir en vacances et souhaitaient ainsi profiter de la piscine que mon mari avait fait construire dans notre jardin.
J'acceptais avec grand plaisir (pour une fois que j'allais avoir un peu de compagnie) et je leur ai dit qu'ils seraient ici chez eux, ignorant que cette semaine là allait bouleverser ma vie.
Le lendemain de leur arrivée, étant une lève-tôt, je suis allée faire des courses en ville. De retour vers 9 heures, j'entre dans la maison et je perçois le son de la télévision dans le salon. Je me dirige vers la salle à manger quand tout à coup, la vision qui m'apparaît à travers la porte vitrée me cloue sur place.
Pascal est assis sur le canapé, jambes écartées, entièrement nu et le sexe au garde à vous. Claire, ma fille, entièrement nue également, est à 4 pattes sur le canapé en travers des jambes de Pascal et elle est en train de le sucer avec application.
Je suis pétrifiée et je ne peux m'empêcher de regarder le sexe de Pascal qui me paraît énorme (au moins le double en taille et en grosseur de celui de mon défunt mari. Le gland est très gros et déforme la bouche de ma fille. Ses testicules sont complètement glabres et j'aperçois son anus exempt de poils également.
Je ne sais plus quoi faire, hésitant entre partir et les laisser vivre leur intimité et le désir, violent, que me procure la vision de cette scène. Alors que j'allais reculer pour me sauver, j'ai croisé le regard de Pascal. Il m'a alors souri et à porté son doigt à sa bouche me faisant signe de ne pas faire de bruit. Ma fille ne pouvait me voir car elle me tournait le dos, me présentant involontairement sa vulve imberbe et ses fesses.
Tout en continuant à me sourire, il a fait glisser sa main le long du dos de ma fille et a plongé ses doigts dans son sexe et a commencé à la masturber.
Moi j'étais paralysée et je voyais ma fille avaler cette bite énorme, la recracher pour passer sa langue sur le gland et le long de la tige pour aller lui embrasser les couilles et je sentais ma culotte se tremper.
Une nouvelle fois j'ai croisé le regard de Pascal, jamais je n'avais vu dans ses yeux autant de lubricité. Il m'a souri et à alors enfoncer son doigt dans l'anus de ma fille. S'en était trop pour moi et dans un brouillard incroyable, je me suis surprise à passer ma main sous ma jupe, puis dans ma culotte pour découvrir ma chatte trempée. Mon doigt a atteint mon clitoris et j'ai failli jouir tellement c'était fort.
La situation était irréelle, j'étais là sous le regard de mon futur gendre en train de me branler comme une collégienne en le regardant se faire sucer par ma propre fille !!!
Tout à coup, au vu des soubresauts de sa queue et aux râles qu'il poussait, j'ai su qu'il était en train de jouir. Claire était secouée par l'éjaculation de cette queue dans sa bouche mais ne la lâchait pas et était en train de tout avaler. Cette vision a déclenché mon orgasme et j'ai joui en me tenant au mur du couloir pour ne pas tomber.
Je pensais que le spectacle était terminé, mais décidément, il était écrit que mon futur gendre avait décidé de me surprendre. Il a empoigné Claire sous les bras pour la hisser sur lui, présentant sa queue à l'entrée de la chatte de ma fille qui s'est empalée d'un coup au plus profond d'elle. Elle a commencé à monter et descendre sur cette queue en poussant des cris de jouissance. Moi, suivant son rythme, je m'enfonçais deux doigts dans la chatte.
J'étais sur le point de jouir à nouveau lorsque Pascal, plantant un doigt dans l'anus de ma fille, lui dit tout fort, certainement pour que je l'entende, j'ai envie de t'enculer. Ma fille n'a pas répondu mais s'est soulevée pour expulser le sexe de Pascal de sa chatte et a guidé elle-même la bite de mon gendre à l'entrée de son cul.
J'étais horrifiée (mais en même temps envieuse), lorsque j'ai vu le gros membre de Pascal forcer l'anus de ma fille, elle si menue, à mon image, comment pouvait-elle recevoir entre les fesses un sexe aussi gros ? D'autant plus que moi je n'avais jamais pratiqué ce genre de pénétration, étant vierge de ce côté là.
A l'évidence, Claire, elle, n'en était pas à la première fois et maintenant montait et descendait comme une folle sur ce pieu qui lui labourait les reins. De mon côté, j'avais relevé ma jupe et écarté ma culotte, offrant la vue de ma chatte poilue à Pascal qui ne me quittait pas des yeux tout en donnant des coups de reins violents qui faisaient rentrer sa bite au plus profond du cul de ma fille.
J'ai joui comme une folle en même temps que ma fille pendant que Pascal hurlait son plaisir en déversant son sperme au fond de ses entrailles.
J'ai alors repris mes esprits et je me suis sauvée pour ne revenir qu'une heure plus tard après avoir tourné en rond en ville en repensant à ce que je venais de vivre. Je me traitais de folle de m'être exhibée ainsi et je me demandais comment aller se passer maintenant ma rencontre avec Pascal.
Prenant mon courage à deux mains, Je les ai retrouvé au salon. Claire était maintenant en peignoir et est venue m'embrasser. Pascal, lui, était torse nu et avait enfilé un short. Il s'est levé en souriant pour m'embrasser et me dire :
- Bonjour belle-maman, bien dormi ?
- J'ai bredouillé un oui en rougissant et je me suis sauvée dans la cuisine pour ranger mes courses.
Le reste de la matinée s'est déroulé normalement et Pascal ne me faisait aucune allusion. Je pensais alors que ce moment d'égarement resterait notre secret et qu'il était suffisamment gentleman pour ne pas en rajouter.
Mais ce n'était que le début de ma descente aux enfers...
En début d'après-midi, nous avions décidé d'aller tous les 3 visiter la cathédrale de la ville mais au moment de partir, Claire me dit qu'elle avait un léger mal de tête et qu'elle préférait rester se reposer à la maison.
"C'est pas grave, on va y aller tous les deux" a répondu Pascal en me prenant par la taille comme il le faisait parfois, mais là, ses mains sur mon corps m'ont fait l'effet d'une décharge électrique.
Je ne pouvais pas refuser mais je redoutais de me retrouver seule avec lui dans la voiture. Une furieuse envie de sexe me tenaillait dès que je posais mon regard sur lui et en même temps, un sentiment de honte m'envahissait vis à vis de ma fille.
Dans la voiture, je ne disais rien, me contentant de guider Pascal à travers la ville quand tout à coup, il me lança :
- Au fait, Karinne, je te remercie pour le spectacle de ce matin
Je suis restée sans voix mais lui continuait :
- J'espère que tu as bien joui, moi j'ai pris un pied énorme à enculer ta fille sous tes yeux. Il y a longtemps que tu n'avais pas vu une bite je pense, à voir comment tu reluquais ma queue !
J'étais abasourdie. Jamais Pascal n'avait été aussi vulgaire et en même temps, je sentais ma chatte couler dans ma culotte.
- Alors réponds, ça t'as plu de voir ma queue, hein ?
J'ai bredouillé un oui, oui ça m'a plu
- Tu veux la revoir ? Oui je le sens, allez tiens je vais te la montrer et tu pourras même la toucher !
En disant ça, il s'était garé sur le parking de la cathédrale. Il a coupé le moteur et a baissé son short. Il ne portait pas de slip et sa queue a jailli à moitié raide et il a commencé à se masturber doucement la faisant grossir à vue d'œil.
- Elle te plait ma bite, hein, elle est belle, non ? Tu peux me sucer, je sais que tu en meurs d'envie !
J'ai protesté pour la forme, mais c'était vrai que j'en mourrais d'envie. J'ai jeté un coup d'œil aux alentours et comme il n'y avait personne, je me suis penchée pour engloutir son membre.
- Ah oui, ma salope, t'en avais envie de ma queue, hein ?
J'étais comme folle, trois ans que je n'avais pas touché un sexe d'homme et les paroles vicieuses de mon gendre me faisaient perdre la tête. J'ai pompé sa bite comme si ma vie en dépendait, m'appliquant à lui lécher les couilles comme j'avais vu faire ma fille ce matin.
- Ah putain, tu suces encore mieux que ta fille, ah salope je vais te remplir la bouche de foutre !
Jamais on ne m'avait parlé ainsi pendant l'amour et je sentais ma chatte inondée.
- Hum oui, ça vient ! Avale tout, oui !!!
J'ai joui sans me toucher quand son sperme a jailli dans ma gorge et j'ai tout avalé alors qu'il me tenait la tête plaquée contre son pubis puis je me suis appliquée à lui nettoyer la queue.
Je ne me reconnaissais plus, savourant son sperme alors qu'avec mon mari, je m'arrangeais pour le faire jouir sur mon visage ou mes seins, ayant horreur d'avaler sa semence.
Pascal m'a relevé pour m'embrasser et est redevenu le gendre gentil que je connaissais.
- Alors on y va la visiter cette cathédrale ?
- Oui on y va
J'étais sur un nuage. Je venais de vivre ma plus forte expérience sexuelle depuis le décès de mon mari. Je sortais de la voiture quand Pascal me dit :
- On voit ta culotte à travers ta jupe, enlève la et donne-la moi !
J'ai failli lui dire qu'il était fou mais le ton de sa voix était redevenu dur et j'ai craqué. Je suis revenue dans la voiture et j'ai fait glisser ma culotte le long de mes jambes. Pascal s'en est emparé, l'a portée à son nez pour la renifler et la ranger dans la boîte à gants en me disant que je sentais la femelle en chaleur.
Nous avons visité la cathédrale avec un groupe de touristes allemands mais je n'arrivais pas à me concentrer sur les merveilles architecturales car pour la première fois de ma vie, je déambulais le cul nu sous ma jupe et j'avais l'impression que tout le monde pouvait s'en apercevoir.
Pascal, de temps en temps, passait sa main sous ma jupe et me caressais les fesses. A un moment, une nouvelle fois, il a passé sa main sous ma jupe mais cette fois-ci pour me planter 2 doigts dans le vagin. Tout en me branlant, il m'a soufflé à l'oreille :
- J'ai une envie folle de te baiser, belle-maman. Et toi, t'en as envie de ma queue dans ton ventre ?
J'ai évité de répondre mais il est revenu à la charge :
- Je sais que tu en as envie, ta chatte est béante et trempée, allez réponds, tu la veux ma queue dans ton ventre ?
Il avait parlé plus fort et j'avais peur que quelqu'un ai entendu, alors pour le calmer, j'ai bredouillé un "oui j'en ai envie".
- Eh bien tu va l'avoir !
Il a prit ma main et m'a entraîné vers un confessionnal un peu à l'écart. Là, après avoir refermé le rideau, il m'a fait agenouiller sur le banc. Se plaçant derrière moi, il a relevé ma jupe sur mes reins, dévoilant mes fesses nues.
- Quel cul tu as, belle-maman ! T'es vraiment bien foutue ! Maintenant je sais de qui Claire tient son cul splendide, vous avez le même et j'espère que le tien est aussi accueillant que le sien !
J'étais mortifiée et j'ai senti ses mains empoigner mes fesses. Il s'est agenouillé et à commencer à couvrir mes fesses de baisers puis sa langue s'est insinuée entre elles. Il m'a dit de relever mon cul et sa bouche s'est posée sur ma chatte qu'il a commencé à dévorer. Quelle jouissance, sa langue pénétrait ma chatte et son nez frottait contre mon anus.
Je mouillais comme une folle et je sentais que j'allais jouir quand j'ai senti sa langue remonter le sillon de mes fesses pour venir se planter dans mon anus. Il écartait mes fesses de ses mains et faisait pénétrer sa langue au maximum dans mon rectum. Jamais on ne m'avait fait ce genre de caresse et tout à coup tout a explosé dans ma tête et dans mon corps.
J'avais tellement joui que je n'avais même pas senti qu'il s'était relevé. Il avait ouvert mon chemisier pour dégager mes seins par-dessus mon soutien-gorge et les pétrissait à pleines mains. J'ai senti sa queue contre ma chatte et à nouveau, il m'a demandé :
- Tu la veux ma queue dans ton ventre, belle-maman ?
Je ne sais pas si c'était le fait qu'il m'appelle belle-maman, le fait d'être dans une église avec des gens autour ou le souvenir de tout ce que j'avais vécu depuis ce matin, mais j'étais surexcitée et j'ai presque hurlé :
- Ah oui salaud, fourre la moi, baise-moi, vite baise-moi !!!
Il ne s'est pas fait prier et il s'est enfoncé dans mon sexe d'une seule poussée jusqu'à la garde. Je ne sais pas si c'est mon abstinence forcée de 3 ans ou la taille de sa queue mais j'avais l'impression de n'avoir jamais été aussi remplie et lorsque qu'il a commencé à aller et venir, venant buter contre mes fesses, j'ai eu de nouveau un orgasme. Je ne les avais pas compté depuis ce matin mais j'étais en train de rattraper mon retard.
Il a continué à aller et venir en moi de plus en plus vite et de plus en plus fort en me traitant de tous les noms. Puis il m'a planté un doigt dans l'anus le remuant au rythme de sa queue dans mon ventre et j'ai re-joui encore une fois avant qu'il ne m'annonce sa jouissance :
- Ah belle-maman, je vais jouir, donne-moi ta bouche !
Il est sorti de ma chatte et je me suis retournée pour engloutir ce sexe qui m'avait si bien fait jouir. Il s'est déversé dans ma bouche en 3 longs jets de foutre que j'ai englouti avec bonheur.
La tension est retombée et on s'est regardés. Lui à moitié bandant, le short sur les chevilles, moi le chemisier ouvert, mon soutien-gorge coincé sous ma poitrine dénudée et on a éclaté de rire dans un grand moment de complicité.
Je venais de prendre un pied terrible après tant de mois d'abstinence. J'avais oublié notre différence d'âge, ma fille, l'endroit où on était, le fait qu'il m'avait tout de même un peu forcée. Je venais de me faire baiser par un beau mâle de presque 20 ans de moins que moi et j'avais aimé ça !
Alors que je me rajustais, il m'a dit d'enlever mon soutien-gorge et de lui donner.
- Désormais en ma présence, plus de sous-vêtements, ni culotte ni soutien-gorge, tu dois apprendre à être belle et disponible !
Tout se brouillait dans ma tête et effectivement lorsque nous sommes sortis de la cathédrale, j'étais les fesses et la poitrine nue et pour la première fois depuis longtemps je me sentais belle et désirable.
Sur le chemin du retour, il m'a fait relever ma jupe très haut pour qu'il puisse admirer ma chatte et ses doigts ont joué avec pendant tout le trajet. Je ne pensais même pas que des automobilistes ou des passants pouvaient apercevoir ma vulve lorsque nous étions arrêtés aux feux rouges.
En arrivant près de la maison, j'ai songé à ma fille et j'ai demandé à Pascal que tout ça reste entre nous. Sa réponse est resté évasive et mystérieuse, se contentant de me dire qu'ils étaient un couple très libre.
Puis alors que nous rentions dans la cour, il m'a dit :
- Tu sais belle-maman, j'ai adoré sucer ta chatte et ton cul, tu as très bon goût mais tu es trop poilue, tu me feras le plaisir de te raser intégralement dès ce soir. Je veux voir ta chatte entièrement nue demain matin ! Promis ?
En rougissant, j'ai répondu :
- Oui, promis, je ferai tout ce que tu voudras !
A peine avais-je prononcé ces mots que je le regrettai déjà me traitant intérieurement d'idiote de m'abandonner ainsi à ce gamin mais lui a saisi la balle au bond en riant de son si beau sourire :
- Voilà des paroles que j'aime entendre !
Nous sommes rentrés. Claire n'était pas dans la maison. Nous l'avons trouvée au bord de la piscine prenant un bain de soleil allongée sur un transat entièrement nue !!
Décidément, cette journée était une journée de folie !
Comme si de rien n'était, elle nous a demandé si la visite de la cathédrale valait le coup. En disant cela, elle avait relevé ses jambes pour poser ses pieds sur le transat et nous dévoilait ainsi sa vulve et son anus totalement épilés.
Bien sûr, j'avais déjà vu ma fille nue mais pas depuis quelques années (à part ce matin) et c'était une femme maintenant. La vue de sa chatte imberbe m'a fait repenser au souhait de Pascal surtout que lui en a rajouté en disant :
- Ah ça oui, ça valait le coup, hein, belle-maman ?
Je me suis sentie rougir et je m'en suis sortie avec une pirouette :
- Oui, très intéressant, mais je t'en prie Pascal, arrête de m'appeler belle-maman, mon prénom c'est Karinne !
- D'accord, on a vu de magnifiques statues et on s'est même confessé, n'est ce pas, Karinne ?
- "Arrêtez, je vous crois pas" a rétorqué ma fille.
- "Demande à ta mère" a répliqué Pascal.
- "Disons que nous avons admiré un confessionnal de toute beauté" ai-je répondu ne sachant pas comment me sortir du piège de Pascal et puis j'ai ajouté :
- Bon je vous laisse, je vais prendre une douche.
Alors que j'allais partir, ma fille m'a demandé :
- Maman ! J'espère que ça ne te déranges pas que je reste nue dans la maison car tu sais, Pascal et moi, nous pratiquons le naturisme et chez nous, nous vivons pratiquement nus toute l'année et comme là, on est en vacances, on compte profiter su soleil !
- Pas de problèmes, je vous ai dit que vous étiez ici chez vous, ai-je répondu dans un nuage et je me suis sauvée pour aller prendre un bain réparateur après cette folle journée.
Me prélassant dans la baignoire, j'ai réfléchi aux évènements de la journée.
J'avais découvert que ma fille était une femme merveilleusement impudique et jouisseuse, que mon futur gendre n'était pas exactement celui que je pensais. J'avais redécouvert le plaisir de l'acte sexuel mais malgré tout, je sentais que tout cela était en train de déraper. Je me suis dit : ma fille, là tu viens de vivre une journée exceptionnelle, mais il faut te reprendre et revenir à une vie normale.
Bien décidée à en rester là, je suis redescendu dans la cuisine pour préparer le repas. J'avais enfilé une jolie robe d'été fleurie. Malgré les mots de Pascal qui résonnaient encore dans ma tête (ni culotte, ni soutien gorge en ma présence), j'avais enfilé un slip de maillot de bain, laissant toutefois ma poitrine libre de tout sous-vêtement.
Le repas étant préparé, j'ai rejoins mes invités dans le jardin. Ils étaient tous les deux dans un relax, mais Pascal lui aussi était désormais nu.
Essayant de ne pas trop fixer mon regard sur ce sexe qui m'avait tant fait jouir, je sentais que je rougissais alors j'ai voulu protester :
- Eh les enfants, vous savez que l'on peut vous voir des immeubles là-bas ?
En effet, un immeuble au loin avait ses fenêtres qui donnaient sur notre jardin mais il était quand même à bonne distance et à moins d'être équipé de jumelles, il n'y avait peu de risque d'être aperçu mais je voulais faire cesser leur petit jeu.
Ma fille a répliqué :
- Eh alors, c'est pas grave, ils ont qu'à se rincer l'œil, moi je veux profiter de mes vacances et du soleil sur ma peau !
Et elle a renchérit :
- Tu sais Maman tu n'as pas à rougir, on est tous pareils à poil, tu devrais profiter du soleil toi aussi et puis tu vas pas rester toute habillée alors que nous, nous sommes nus, hein Pascal ?
- Oui, Claire a raison et puis, on est entre nous, a répondu Pascal en riant.
- Mais j'ai pas l'habitude de ça comme vous moi, ai-je répondu et pour faire diversion, je leur ai proposé l'apéritif.
Ma fille s'est levé et s'approchant de moi, elle a dit :
- D'accord pour l'apéro, c'est moi qui le sers, mais seulement si tu te mets dans ma même tenue que nous !
En disant ça, elle me fit une bise sur la joue et me glissa à l'oreille :
- Allez, Maman, laisses-toi tenter, tu verras comme c'est agréable de vivre nue !
J'ai fondu et par défi et puisque de toute façon, Pascal n'ignorais rien de mon anatomie, j'ai lancé :
- Bon d'accord, mais soyez indulgents avec le poids des années sur mon corps !
J'ai alors dégrafé ma robe et l'ai fait passer par-dessus ma tête.
J'étais désormais seins nus avec juste mon slip de bain et je leur ai dit :
- Bon voilà, maintenant je vais chercher l'apéro
Ma fille s'est écriée :
- Eh Maman, on avait dit toute nue, est-ce que j'ai une culotte moi ?
- Oui, la culotte ! La culotte ! a commencé à scander Pascal.
- Vous êtes complètement fous tous les deux ! Allez puisque que ça vous amuse !
J'ai alors fait glisser mon slip de bain le long de mes jambes pour me retrouver entièrement nue devant ma fille à coté de moi et mon gendre qui me regardait d'un air goguenard.
- Bien tu vois, Maman, c'est pas si dur, et puis t'es vraiment très belle, qu'est ce tu racontais ? Hein, qu'elle est bien foutue ma mère, Pascal ?
- Parfaite, a répondu Pascal avec son sourire ravageur.
- Arrêtez, vous allez me faire rougir !
- Tu es la plus belle des mamans, a ajouté ma fille en m'embrassant la joue de nouveau en collant sa poitrine contre mes seins.
Ce contact m'a malgré moi électrisée et je ne savais plus quoi faire, paralysée par des sentiments contradictoires.
Ma fille a ajouté :
- Tu sais, Maman, tu es vraiment très belle, la seule chose qu'il faudrait que tu fasses pour être encore plus belle, c'est enlever tous ces poils !
En disant ça, elle avait passé sa main dans ma toison pubienne et après un mouvement de recul de surprise, je me suis surprise à recoller mon ventre contre sa main.
C'était la deuxième fois aujourd'hui que l'on me disait que les poils de mon sexe devaient disparaître et je sentais bien que c'est ce qui allait m'arriver...
Pour faire diversion, je me suis enfuie dans la cuisine pour préparer l'apéritif.
D'être nue ainsi dans ma propre maison, j'avais l'impression de perdre mes repères. Les gestes quotidiens ne sont plus les mêmes, et je découvrais d'étranges sensations.
J'ai rejoins les enfants sur la terrasse avec mon plateau chargé de bouteilles et d'amuse-gueules.
Nous avons pris l'apéritif en discutant de choses et d'autres. Je n'étais pas mécontente que la conversation change de ton car si l'on avait continué de parler de sexe, je pense que j'aurai fini pas être mal à l'aise.
Finalement nous avons dîné sur la terrasse, tous les trois nus comme des vers et en fin de soirée, je ne pensais même plus à l'étrangeté de la situation.
Une demi-heure avant, j'avais même reçu un coup de téléphone de mes beaux-parents qui souhaitaient prendre des nouvelles des enfants et je m'étais surprise à être excitée ainsi à parler à ma belle-mère et à mon beau-père, alors que j'étais complètement nue ! Heureusement que le téléphone avec écran incorporé n'est pas encore d'actualité ...
J'avais eu une journée folle et je me sentais fatiguée alors vers 10 heures, j'ai décidé d'aller me coucher.
Claire et Pascal m'ont aidé à débarrasser la table et nous avons rejoint nos chambres respectives.
J'étais dans mon lit, repensant à tout cela lorsque tout à coup, j'ai entendu les râles de ma fille. Manifestement, Pascal était en train de lui faire l'amour et elle prenait son pied !
J'étais estomaquée de la forme de ce garçon ! Il avait encore la force de baiser après une journée pareille !
Je n'ai pas pu m'empêcher de me poignarder le sexe de deux doigts en entendant les cris de jouissance de ma fille et après un ultime orgasme, je me suis endormie.
Le lendemain au réveil, je me sentais bizarre. J'étais partagé entre un sentiment de honte et de plaisir. Je suis allée me réfugier sous la douche pour me délasser.
Alors que je me savonnais, j'ai entendu quelqu'un entrer dans la salle de bain.
- Bonjour, Maman, bien dormi ? Je peux prendre ma douche avec toi ?
Avant que j'ai eu le temps de répondre, ma fille était déjà contre moi sous le jet de la douche. Face à face, nos seins s'effleuraient et je sentais des ondes de choc m'envahirent.
- Tu veux bien me savonner le dos, Maman s'il te plait ?
Je m'exécutais, passant le gant le long de sa colonne vertébrale.
- A toi, maintenant !
Ma fille me prit le gant et commença à me frictionner les épaules, puis le dos, descendant sur mes reins me procurant d'étranges sensations.
Nous nous rinçâmes et Claire sortit de la douche pour s'essuyer. Alors que je m'essuyais à mon tour, Claire me lança :
- Oh Maman, il faut absolument que je te rase ça, en désignant mon sexe.
J'ai essayé de résister mais elle a insisté et m'a entraînée dans ma chambre. Après avoir étendu une grande serviette, elle m'a dit de m'allonger sur le dos et à commencé à donner des coups de ciseaux dans mes poils. Une fois le plus gros enlevé, elle a enduit mon sexe de crème à raser et a commencé à passer le rasoir d'abord sur mon pubis puis de plus en plus près de mon sexe.
La sensation d'abandon, le picotement de la crème et le feu du rasoir sur ma peau ont commencé à m'échauffer les sens et j'ai senti ma chatte qui s'humidifiait. Claire posait sa main directement sur mes lèvres intimes pour tirer ma peau afin de passer le rasoir et à un moment son pouce a touché mon clitoris et j'ai failli jouir poussant un soupir de plaisir.
- Voilà j'ai presque fini, mets toi à quatre pattes maintenant que je termine autour de l'anus.
Je m'exécutais.
- Ecartes bien tes fesses !
En m'aidant de mes mains, j'écartais mes fesses au maximum, dévoilant ainsi à ma fille mon anus et ma chatte désormais imberbe.
Elle me fit un peu mal en enlevant avec la pince à épiler les quelques poils restants autour de mon anus et m'annonça fièrement :
- Et voilà, une vraie petite gamine, Maman tu es superbe comme ça !
Je l'ai remerciée et j'ai repris une douche pour me rincer.
Lorsque je suis retournée dans ma chambre ma fille était encore là et me demanda si ça ne me chauffait pas trop entre les cuisses.
J'ai répondu, si un peu !
- Allonges toi je vais apaiser ça !
Je me suis allongée pensant que ma fille allait me passer une crème apaisante mais avant je puisse réagir, elle avait enfoui sa tête entre mes jambes et sa bouche est venue se poser sur mon sexe.
- Claire, qu'est-ce que tu fais, tu es folle !
J'ai essayé de la repousser mais déjà sa langue pénétrait entre les lèvres de ma chatte et sa bouche aspirait mon sexe délicieusement.
Ce n'était pas la première fois qu'une femme me suçait car j'avais eu quelques aventures lesbiennes à l'internat lorsque j'étais lycéenne mais là, c'était ma propre fille qui venait de dénicher mon clitoris et qui le faisait rouler sous sa langue.
Je commençais à m'abandonner sous la caresse lorsqu'elle m'introduisit un doigt dans le vagin et commença à me branler divinement.
J'ai agrippé sa tête, lui caressant les cheveux, pendant qu'elle continuait d'aspirer mon bouton avec sa bouche et qu'un deuxième doigt avait rejoint le premier à l'intérieur de ma chatte dégoulinante.
- Oh Claire, continues, n'arrêtes pas, ai-je crié alors que je sentais que j'allais jouir.
Ses doigts me ramonaient de plus en plus vite et tout à coup, j'ai explosé, inondant la bouche de ma fille de mon jus d'amour dont elle s'est régalée.
Elle s'est alors relevée pour s'allonger sur moi et sa bouche a trouvé la mienne. J'ai senti sa langue forcer mes lèvres et je lui ai rendu son baiser avec passion.
- Ma petite fille chérie, qu'est-ce qu'on vient de faire ?
- Ben l'amour Maman ! C'était bon ?
- Oh oui !
- Meilleur qu'avec Pascal ?
J'ai senti mon cœur s'accélérer.
- Mais ....
- Ne t'inquiètes pas Maman, je sais tout. Je sais qu'il t'a baisée hier après-midi car il m'a tout raconté et maintenant je peux te l'avouer, tout cela était prémédité.
C'est ainsi qu'elle m'avoua qu'un jour qu'elle parlait de moi avec Pascal, me trouvant souvent triste depuis la mort de mon mari, Pascal lui avait dit en souriant que ce qu'il me faudrait c'était de retrouver un homme pour baiser. Plus tard, alors qu'ils étaient en train de faire l'amour, Pascal avait suggéré malicieusement à Claire de me rendre ce petit service. L'idée avait fait son chemin et s'est ainsi qu'ils avaient décidé de me faire passer une semaine d'amour en s'invitant à la maison. J'appris ainsi que l'exhibition du canapé de la veille était intentionnelle, ainsi que le soi-disant mal de tête de ma fille, permettant à mon gendre d'être seul avec moi.
Tout en me racontant ça, Claire m'embrassait le visage.
- Voilà Maman chérie, cette semaine sera une semaine consacrée au plaisir, à ton plaisir !
Je ne savais pas quoi répondre alors j'ai pris la tête de ma fille dans mes mains et je l'ai embrassé avec passion.
Elle s'est relevé tout d'un coup et m'a lancé :
- Allez viens, allons réveiller Pascal pour qu'il puisse admirer ton joli abricot tout lisse !
Comme une automate, je l'ai suivie jusqu'à leur chambre. Mon futur gendre était allongé sur le lit, le sexe à moitié dressé, toujours aussi impressionnant par sa taille.
Lorsqu'il a aperçu mon sexe tout lisse, il a sifflé d'admiration et m'a fille a ajouté :
- Maman est d'accord pour notre semaine de plaisir !
- Mais ...
Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, Claire me prit la main et m'entraîna sur le lit.
- Allez on va le réveiller mon homme, elle est belle sa queue, hein Maman ?
J'ai répondu oui en rougissant.
Nous étions toutes les deux de part et d'autre des jambes de Pascal et Claire s'est saisi de son sexe pour le prendre en bouche. Après l'avoir pompé un peu, elle le retira de sa bouche et tendit le gland vers moi :
- Suces le toi aussi, il faut qu'il bande bien car après il va nous baiser mon étalon !
Je me penchais alors pour engloutir à mon tour le membre de mon gendre dans ma bouche alors que Claire faisait elle glisser sa langue le long de sa queue puis allait lui lécher les couilles.
Je m'abandonnais au plaisir et me mit à mon tour à caresser les grosses boules lisses de mon gendre, les faisant rouler sous mes doigts alors que Claire avait remonter sa bouche pour venir me dérober le gland de son chéri.
Nous étions face à face et nos langues se touchaient en s'enroulant autour du sexe de Pascal qui râlait de plaisir :
- Ah mes salopes, c'est bon, je vais cracher mon foutre !
Une fois de plus, il était redevenu vulgaire et ses paroles me firent mouiller. Je plongeais ma main vers mon sexe et commençais à me triturer le clitoris tout en continuant de pomper cette grosse queue.
- Ah putain ça vient, hum !
Pascal jouissait. Le premier jet fut pour ma fille qui l'avait en bouche à ce moment là. Puis elle repoussa l'engin vers moi, ce qui eu pour effet que le deuxième jet de sperme s'écrasa sur mon visage avant que je n'ai le temps de l'engloutir pour recevoir les deux derniers au fond de ma gorge.
J'avalais tout en jouissant les doigts enfouis dans ma chatte.
Ma fille a alors saisi la queue de Pascal pour la nettoyer puis elle est venu m'embrasser à pleine bouche et a commencé à lécher le sperme qui me maculait les joues.
- Ah les gouines, vous aimez ça le jus de couilles, hein ?
Claire a répliqué :
- Et toi tu n'aimes pas le jus de moule peut-être ? Allez à ton tour, et fais nous bien jouir !
- Volontiers, petites vicieuses, mais je préfère commencer par ta mère et son minou tout neuf !
Pascal s'est glissé entre mes jambes et a commencé à me lécher, buvant la mouille de mon précédent orgasme. Il agaçait avec science mon clitoris tout en me pénétrant d'un doigt fureteur. Pendant ce temps, Claire me léchait les pointes des seins.
J'avais abandonné toute honte et je ne pensais plus qu'au plaisir.
Ma fille est alors venu au dessus de moi et a lentement abaissé son sexe vers ma bouche. J'ai plaqué mes lèvres sur les lèvres de son sexe et j'ai aspiré son clitoris. Sa chatte avait un goût délicieux et je m'enivrais de ses senteurs et des coups de langue de Pascal au fond de mon con.
Tout à coup, il s'est relevé, m'a levé les jambes pour les poser sur ses épaules et j'ai senti son membre dur chercher l'entrée de ma chatte. Il m'a pénétrée d'un coup de toute sa longueur, alors que ma fille jouissait dans ma bouche, m'inondant de son jus et retombant comme un pantin sur mon ventre.
Pascal a commencé à me limer en profondeur. Claire reprenant ses esprits s'est agenouillée à côté de nous pour regarder la queue énorme de son homme entrer et sortir de ma chatte.
- Il te baise bien, Maman ? Elle est longue et dure, hein ?
- Ouiiii ! Plus vite, plus fort ! Baise la ta salope de belle-mère !
Foudroyée par le plaisir, je délirais maintenant autant que Pascal.
- Hum, ta chatte est serrée, que c'est bon, je vais te défoncer !
Il a alors accéléré le rythme, me pilonnant comme un forcené. Je sentais ses couilles qui venaient battre contre mes fesses et tout à coup, il a explosé en criant, déchargeant sa semence dans mon ventre et déclenchant mon orgasme.
Pascal s'est retiré de ma chatte pour s'allonger sur le dos. Ne me laissant pas de répit, Claire a plongé entre mes jambes pour venir savourer le sperme de son homme qui me remplissait le sexe.
Pascal s'est appuyé sur un coude pour admirer sa future femme en train de sucer sa future belle-mère et a déclaré :
- Vous êtes de belles salopes toutes les deux. Tiens belle-maman, suce moi la queue, fais moi durcir que j'aille donner son coup de bite du matin à ta fille chérie !
Il s'est agenouillé devant moi et j'ai de nouveau englouti sa queue, la pompant du mieux possible et lui donnant des coups de langue au rythme de ceux de ma fille sur mon clito.
Puis Pascal est sorti de ma bouche pour aller se planter dans la chatte de Claire qu'il a commencé à ramoner. Tout en continuant de me sucer, ma fille m'a planté un doigt dans l'anus et à commencé à me limer le cul au rythme des coups de reins de Pascal dans son ventre.
Ouvrant les yeux, j'ai croisé le regard de mon gendre, agrippé aux hanches de ma fille. Son sourire ravageur m'a fait l'effet d'une décharge électrique et j'ai explosé de jouissance. Ma fille a alors relevé la tête. Elle avait le visage barbouillé de ma mouille et du sperme de Pascal. Elle haletait bouche ouverte sous les coups de reins de son homme. Elle s'est écrié :
- Oui, baise moi fort, encule moi, vite encule moi !
- Tu la veux dans le cul ?
- Oui dépêche toi je vais jouir !
- Ah quelle cochonne, Karinne viens voir, viens voir comment ma bite va exploser le petit cul de ta fille !
Je n'étais plus moi-même et à quatre pattes, je suis passée derrière ma fille pour regarder la grosse bite de mon gendre sortir de sa chatte et se poser sur son anus.
- Regarde comment je vais lui péter la pastille, tu vas voir comme elle aime ça, regarde bien car après ce sera ton tour !
Les yeux exorbités, j'ai vu l'anneau de ma fille s'ouvrir sous la poussée du gland avant de se refermer sur son passage puis de se réouvrir pour engloutir le reste de la queue. Il était rentré de la moitié de son engin. Il est presque totalement ressorti et d'une longue poussée, il s'est enfoncé jusqu'à la garde entre les fesses de ma fille qui a poussé un hurlement de bonheur.
Tout en la limant de plus en plus fort, Pascal m'a lancé :
- Regarde comme ma queue coulisse bien dans son cul, elle adore ça, ma chérie que je l'encule !
Je ne regardais que cela, la main plongé dans mon sexe, je me branlais au rythme de la queue de Pascal violant l'anus de ma fille. Elle avait passé sa main sous son ventre et se caressait en haletant et puis tout à coup, elle a hurlé son plaisir et son corps pris de soubresauts, elle s'est effondrée à plat ventre sur le lit.
Pascal continuait à aller et venir à grands coups entre les fesses de ma fille et s'est mis à jurer :
- Oh putain que c'est bon, je vais jouir moi aussi, approche Karinne je veux jouir dans ta bouche !
Il s'est retiré du fondement de ma fille et est venu coller sa queue contre mon visage. J'ai ouvert la bouche et il a poussé sa bite à l'intérieur. Malgré l'odeur de sa queue souillée, j'ai aspiré ce gros gland en rugissant de bonheur et il m'a alors aspergé la gorge de longues giclées chaudes que j'ai avalées.
Le calme est revenu petit à petit et Pascal s'est levé :
- Ouf, vous m'avez vidé mes chéries, je vais prendre ma douche.
J'ai regardé ma fille en train de récupérer, toujours à plat ventre et les fesses relevées. Je voyais avec effroi son anus largement ouvert par la bite de Pascal. Je me suis approché d'elle pour lui caresser les cheveux et elle m'a tendu ses lèvres. Je l'ai embrassé passionnément mêlant nos langues au sperme de mon gendre et aux sécrétions de son anus.
Je lui ai demandé si ça allait.
- Oh oui, Maman, tu sais j'adore baiser et Pascal est un dieu pour ça.
Hésitante, je lui demandais :
- Il ne te fait pas trop mal, par derrière ?
- Un peu mais c'est tellement bon, hein ?
- Je ne sais pas, chérie, je ne l'ai jamais fait moi comme ça, tu comprends ?
- Tu n'as jamais été sodomisée ? Même pas par Papa ?
- Non, jamais, je te jure !
- Et tu voudrais essayer ?
- Oui, je voudrais bien mais il faudrait que Pascal soit plus doux, tu comprends ?
- Oh Maman chérie, ne t'inquiètes pas, je vais m'en occuper.
Nous sommes restées ainsi à nous câliner jusqu'à ce que mon gendre libère la salle de bain et nous avons pris notre douche ensemble.
Alors que j'allais prendre des sous-vêtements dans le placard, ma fille m'a dit :
- Maman, tu sais bien que cette semaine, on vit nues !
- Mais il faut bien que l'on aille faire les courses !
- Eh alors, on a pas besoin de slip pour ça !
- Vous êtes démoniaques !
- Mais non, tu vas voir, Maman, comme c'est jouissif de se trimballer le cul à l'air, moi ça m'excite !
C'est donc nues que nous sommes redescendues au salon où Pascal, nu également, nous attendait.
- Alors quel est le programme de cette belle journée qui a si bien commencée, demanda-t-il en me souriant.
Malgré moi, je me suis sentie rougir.
- D'abord on fait quelques courses en ville, Maman et moi, toi tu fais ce que tu veux et cet après-midi, bronzette autour de la piscine et ce soir restaurant et sortie en ville, en boîte tiens, pourquoi pas ?
- Moi ça me va comme programme, a lancé Pascal.
- Ok, ai-je répondu.
- Allez viens Maman, on va s'habiller pour les courses !
Elle me prit par la main et m'entraîna dans sa chambre. Saisissant deux robes courtes, elle me dit :
- Je prends la blanche ou la jaune ?
- Celle que tu veux ma chérie.
- Alors la jaune, tiens la blanche est pour toi, me dit-elle en me tendant la robe.
- Tu es folle, je ne rentrerai jamais là-dedans, bien qu'on ai à peu près la même taille, je suis un peu plus grosse que toi !
- Mais non, tu verras, je suis sûre qu'elle va t'aller !
Ma fille a alors enfilé la robe par dessus sa nudité. Celle-ci lui collait au corps et faisait ressortir son bronzage. Elle était courte et lui arrivait à mi-cuisses. Je regardais son corps moulé dans la robe et je pensais fièrement que mon mari et moi avions fait un joli brin de fille.
- Allez Maman, on va être à la bourre !
Je me décidais à essayer la robe et je fus surprise d'arriver à rentrer dans ce minuscule bout de tissu.
- Tu vois qu'elle te va, tu es superbe !
Comme deux gamines, nous nous sommes admirées devant la glace. Etant un peu plus grande que ma fille, la robe dévoilait mes cuisses bien plus haut que celle de ma fille. L'image que me renvoyait le miroir était surréaliste. On aurait dit deux sœurs et j'étais frappée par notre ressemblance mais en même temps je voyais bien qu'il m'était impossible de sortir comme ça dans la rue, les robes nous moulant tellement qu'il était impossible de ne pas s'apercevoir que nous étions nues dessous !
- Claire, c'est pas possible, je ne peux pas sortir comme ça !
- Et pourquoi, Maman ?
- Regarde ces robes, c'est un appel au viol !
- Et alors ? Tu es belle et tu n'as aucune raison de te cacher, allez viens, on n'y va !
Abandonnant toute résistance, je suivis ma fille. Passant devant Pascal pour sortir, ma fille lui fit un bisou et lui dit :
- Bon on va faire les courses, à tout à l'heure !
- Une minute, s'écria-t-il et se levant, il vint vers moi pour passer sa main sous ma robe. Touchant mes fesses nues, il me dit :
- Bien, je vois que les consignes sont respectées, tu es ravissante dans cette robe, et il m'embrassa à pleine bouche avant de nous souhaiter une bonne promenade.
Ma fille m'entraîna à l'extérieur alors que je réagissais que je n'avais même pas tenté de me dérober à l'humiliante vérification de mon gendre !
Je pense que c'est seulement à ce moment-là que j'ai vraiment réagi que je leur étais soumise et que le pire, c'est que j'aimais ça et que ce que j'étais en train de vivre me faisait envie depuis longtemps.
Alors que je me dirigeai vers la voiture, Claire m'annonça que nous irions à pied pour profiter du soleil.
Devant la maison, nous avons croisé mon voisin d'en face, un retraité, veuf, très gentil avec qui j'entretenais d'excellentes relations.
- Bonjour Madame S., eh bien vous êtes en beauté ce matin !
J'étais troublée qu'il me découvre si court-vêtue et je lui présentais ma fille.
- Est-ce que toutes les femmes sont aussi ravissantes dans votre famille, demanda-t-il en plaisantant.
- Oui, toutes, répondit ma fille en me prenant par le bras.
- Bonne journée, Monsieur B., lançais-je en m'éloignant.
- Bonne journée aussi !
En me retournant, j'ai aperçu son regard rivé sur mes fesses et cela m'a troublée profondément.
Nous avons marché jusqu'au centre-ville, bras-dessus, bras-dessous, et j'avais l'impression que tout le monde pouvait s'apercevoir que nous avions les fesses à l'air. Curieusement, plutôt que de m'inquiéter, cette situation m'excitait et je sentais ma chatte s'humidifier, surtout que pas mal d'hommes se retournaient sur notre passage.
En passant devant une pharmacie, j'ai eu un déclic. J'ai repensé à ce matin et à l'éjaculation de Pascal au fond de mon ventre, moi qui ne prenais plus de contraception depuis le décès de mon mari.
J'en ai fait part à ma fille et nous sommes rentrées pour me procurer une pilule.
Malheureusement, la pharmacienne ne voulait pas me délivrer de pilule sans ordonnance et je suis ressortie avec un sentiment de honte de m'être ainsi fait refouler comme une gamine.
Ma fille m'a dit que ce n'était pas grave et qu'elle demanderait à Pascal de faire attention.
Nous avons ensuite fait quelques courses pour le repas et puis ma fille, alors que nous passions devant un magasin de vêtements féminins, m'a entraînée à l'intérieur pour acheter une robe pour moi pour la sortie en boîte de ce soir.
Elle a choisi plusieurs robes, toutes plus courtes les unes que les autres puis m'a entraînée vers une cabine pour que je les essaie.
Elle est restée devant la cabine, le rideau seulement tiré aux trois-quarts, me passant les robes les unes après les autres. Entre chaque robe, j'étais bien obligée d'être entièrement nue et à un moment dans le reflet de la glace, j'ai croisé le regard de la vendeuse qui ne perdait rien du spectacle de ma nudité.
Finalement, ma fille a choisi pour moi une mini-robe noire, une mini-jupe noire également et a pris 2 chemisiers noirs en dentelle complètement transparents (un pour moi et un pour elle).
J'ai payé le tout sous le regard plein de sous-entendus de la vendeuse.
Le même manège a recommencé dans un magasin de chaussures où ma fille et moi avons acheté des chaussures pour aller avec la robe.
Claire et moi avons essayé plusieurs paires de chaussures et j'ai surpris tout à coup le regard fixe du vendeur accroupi aux pieds de ma fille. Elle avait les jambes écartées et j'étais persuadée qu'elle était en train de lui dévoiler son sexe nu. Cette pensée m'a fait mouiller et lorsque j'ai croisé le regard rougissant de la petite vendeuse accroupie devant moi, j'ai compris qu'involontairement, je devais lui avoir offert le même spectacle.
Ma fille m'a regardé et à ensuite dirigé son regard vers la vendeuse et j'ai compris qu'elle me demandait de faire comme elle et d'offrir à la jeune fille la vue de ma chatte nue et épilée.
Comme malgré moi, mais très excitée, j'ai négligemment écarté un peu plus les jambes lui offrant la vue de ma chatte nue et ruisselante. La petite vendeuse, rouge de confusion, en a fait de même, me dévoilant sa culotte en dentelle blanche sous laquelle je voyais la tache sombre de son sexe.
C'est très troublée que je suis sortie du magasin et j'ai demandé à ma fille si elle avait fait exprès de montrer sa chatte au vendeur.
- Bien sûr, Maman, j'adore m'exhiber ainsi, c'est très excitant et je t'ai vu en faire autant avec la vendeuse. Je suis sûre que tu es trempée là.
J'ai répondu que oui et elle m'a alors traitée de coquine en riant.
De retour à la maison, Pascal avait mis la table et préparé l'apéritif sur la terrasse.
Claire lui a raconté la petite séance d'exhibition chez le marchand de fringues et chez le marchand de chaussures, ce qui a eu pour effet de le faire bander.
- Vous êtes deux petites salopes toutes les deux ! Je suis sûr que vous êtes trempées.
En disant ça, il avait passé la main sous la robe de Claire et vérifiait l'état de sa chatte. Il me demanda d'approcher pour vérifier la mienne et passa la main sous ma robe pour atteindre mon sexe effectivement trempé.
- Ah les cochonnes, vous dégoulinez de mouille, allez hop, à poil, vous allez pas me laisser dans cet état là !
Ma fille retira prestement sa robe et s'agenouilla pour prendre la queue de Pascal en bouche.
- Retire ta robe aussi, Karinne et sers nous l'apéro, j'adore que l'on me taille une pipe pendant que je bois mon Pastis !
Décidément soumise, je me suis mise nue et j'ai servi les apéritifs alors que Claire faisait courir sa langue sur la queue de son homme.
- Viens me sucer toi aussi petite vicieuse exhibitionniste !
Je me suis agenouillée à mon tour et enlevant sa bite de la bouche de ma fille, je l'ai pompé à mon tour avec délectation.
- Allez viens sur ma queue, j'ai envie de te baiser !
- Tu feras attention Pascal, Maman ne prend pas la pilule, a dit ma fille.
- D'accord, c'est pas grave, j'ai deux autres trous à ma disposition pour vider mes couilles !
J'étais humiliée mais j'avais tellement envie de sa queue que je me suis assise sur lui m'empalant au plus profond sur sa grosse tige. J'ai commencé à aller venir sur sa queue pendant qu'il me triturait les seins. Claire avait glissé en dessous de nous et lui léchait les couilles.
Le plaisir m'a emportée tout à coup et j'ai joui en m'empalant jusqu'à la garde sur le sexe de Pascal. Je me suis alors retirée et ma fille a pris ma place se plantant à son tour sur la queue de son chéri.
Je les ai regardé en train de faire l'amour. Je trouvais ma fille craquante et je ne pouvais détacher mes yeux de la grosse queue de Pascal qui pénétrait le sexe de ma fille. Ils ont fini par jouir en même temps et ont décidé d'aller se rafraîchir dans la piscine.
Je les regardais s'amuser dans l'eau, sirotant mon apéritif, et je repensais à tout ce que j'avais vécu depuis 3 jours.
J'avais tellement un retard de sexe et de jouissance que je ne me contrôlais plus. Je mourais d'envie de les rejoindre dans la piscine pour que Pascal me baise encore, mais dans un dernier sursaut de retenue, je me décidais à aller préparer le repas.
Celui-ci englouti, ma fille déclara :
- Bon, Pascal, nous aussi on est en vacances, alors tu fais la vaisselle et Maman et moi, on va faire la sieste !
- Pas de problèmes !
- Alors, à tout à l'heure !
Ma fille m'a alors entraînée dans le jardin et après nous avoir enduites de crème solaire nous nous sommes allongées sur les transats pour une bonne sieste réparatrice au soleil.
Finalement nous avons passé l'après-midi à bronzer et à se baigner.
Je me sentais revivre et lorsque Pascal a téléphoné pour nous réserver une table dans un restaurant côté dans les environs, j'avais le sentiment d'être vraiment en vacances, sentiment qui ne m'avait pas envahie depuis longtemps.
Claire a déclaré en regardant Pascal :
- On va aller se préparer, comment tu nous veux ? Robe ou jupe ?
- Jupe mais courte et évidemment pas de culotte, hein ?
- Evidemment, a répondu ma fille.
Claire m'a alors entraînée dans la salle de bain où nous avons pris une douche. Puis une fois dans la chambre, elle m'a déclarée :
- Ce soir, on va rigoler, on va se faire passer pour des frangines !
Elle a choisi pour elle une mini-jupe noire et m'a donné celle que nous avions acheté pour moi le matin même. Pour le haut, elle a sorti les chemisiers achetés le matin même.
Nous nous sommes habillées. Le résultat était saisissant. Nos poitrines étaient non seulement visibles mais elles étaient encore plus soulignées par la transparence de la dentelle. C'était pire que si nous étions les seins à l'air !
Je fis la remarque à ma fille qui me répondit que nous étions super sexy comme ça et que de toute façon, nous allions mettre une veste par dessus, puis elle fouilla dans ses affaires et en sortit 2 paires de Dim-up noirs.
Après avoir enfilé les bas et passé une veste sur nos épaules, nous avons rejoint Pascal qui nous attendait au salon.
- Whoa ! Super mignonnes les filles, a lancé Pascal en nous voyant puis il s'est approché de nous pour nous passer la main sous la jupe et vérifier que nous étions bien sans culotte et je me suis surprise à subir cette vérification avec un plaisir non dissimulé.
Il m'a ordonné de déboutonner ma veste pour ne garder que les deux boutons du bas, laissant ainsi une partie de ma poitrine visible et ma fille en a fait autant.
Pendant le voyage jusqu'au restaurant, je me suis surprise à me sentir excitée. Si on m'avait dit trois jours avant qu'un jour, j'irai dîner dans un restaurant habillée comme une pute et le cul à l'air ...
Ce que je redoutais est arrivé. Lorsque nous sommes arrivés, le portier s'est positionné derrière nous pour récupérer nos vestes afin de les mettre au vestiaire. Pascal me regardait avec une lueur animale dans les yeux lorsque malgré moi, je fus obligée de retirer le seul rempart de ma poitrine.
Je n'ai pas osé regarder le portier pendant que je lui tendais ma veste. Ma fille en fit de même et le maître d'hôtel s'est approché de nous en souriant. J'ai croisé son regard allant des seins de ma fille aux miens et je me suis sentie rougir de m'exhiber ainsi. Celui-ci n'a fait comme si de rien était.
- Si vous voulez bien me suivre !
J'avais les jambes flageolantes de penser qu'il fallait affronter les regards des convives dans la salle du restaurant et je crois que je n'aurai pas bougé si Pascal ne m'avait pas pris par la taille pour m'entraîner dans la salle.
A notre entrée, les regards des hommes et des femmes se sont tournés vers nous et morte de honte, j'ai essayé de marcher le plus naturellement possible en évitant de regarder les gens assis.
Heureusement, notre table était dans un petit coin un peu à part et seulement quelques tables avaient vu sur la nôtre.
Claire et moi nous sommes assises face à la salle et Pascal s'est mis en face de nous.
J'ai jeté un regard furtif vers les autres tables. Ouf, visiblement je ne connaissais personne mais à en juger par les regards de ces messieurs, notre arrivée n'était pas passée inaperçue.
Le maître d'hôtel est parti chercher la carte pour les apéritifs et Pascal a alors lancé :
- Vous êtes très bandantes mes chéries comme ça. Karinne, prends exemple sur ta fille, défais-moi ce bouton !
Ma fille avait en effet défait les boutons de son chemisier jusqu'au creux de sa poitrine laissant ainsi apparaître ses seins dans l'ouverture de son chemisier.
Très excitée, j'en fis de même et réclamais à mon gendre de me commander un alcool fort pour soulager ma tension.
Le maître d'hôtel est revenu pour prendre notre commande debout à côté de moi et j'ai saisi son regard se poser sur mes cuisses. Je me suis alors aperçue qu'assise ma mini-jupe était relevé très haut et dévoilait complètement mes bas.
J'ai regardé ma fille et elle offrait le même spectacle d'autant qu'elle était, sans la moindre gène, les jambes très écartées.
- T'as vu comment il vous reluquait, a dit mon gendre une fois celui-ci reparti.
- Oui, ça m'a fait mouiller a répondu ma fille et toi Maman ?
- Euh ... oui c'est excitant.
- Tout à l'heure vous montrerez vos chattes au serveur, ces petits jeunes sont exploités et mal payés, ce sera un super pourboire pour lui !
- Pas de problème, a dit ma fille.
- Vous êtes vraiment des vicieux tous les deux, ai-je ajouté en sirotant mon apéritif.
Au deuxième apéritif, je commençais à sentir mes sens s'échauffer d'autant que ma fille avait posé sa main sur ma cuisse et qu'elle jouait négligemment avec la lisière de mon bas tout en me parlant.
Pascal lui s'amusait à nous prendre en photo ce qui attiraient encore plus les regards vers nous.
Le serveur est arrivé. C'était visiblement un apprenti dans les 16-17 ans et il s'est mis à rougir et bredouiller lorsqu'il a aperçu nos poitrines presque dénudées.
Le repas était divin et avec les vins, je commençais à être un peu pompette et on riait de plus en plus fort avec ma fille.
Une fois le dessert commandé, Pascal a ordonné :
- Allez, c'est le moment du pourboire pour notre jeune serveur, relevez vos jupes qu'il voit bien vos chattes !
Ma fille s'est légèrement relevé pour soulever sa jupe et la rouler autour de sa taille. Puis elle s'est rassise le cul nu sur la chaise écartant les jambes pour dévoiler complètement son sexe nu et luisant.
Heureusement que la nappe nous protégeait des regards de la salle car elle était d'une indécence folle.
Pascal a qui le geste n'avait pas échappé m'a ordonné :
- Allez toi aussi, Belle-maman !
Soumise, je me suis exécutée, roulant ma jupe comme ma fille autour de ma taille. Poser mes fesses nues sur la chaise m'a électrisée et d'être ainsi le sexe exposé en plein milieu d'un restaurant m'a fait mouiller comme une folle.
Pascal s'est levé pour contourner la table et nous prendre en photo pour immortaliser cette scène. Au passage, je me suis rendu compte qu'il bandait le salaud.
Lorsque le serveur est arrivé, Claire a posé sa main sur ma cuisse pour me forcer à bien écarter les jambes offrant ma chatte béante et trempée au regard du gamin qui a faillit tout renverser lorsqu'il s'est aperçu que l'on avait toutes les deux le cul à l'air.
- Regarde bien, jeune homme c'est ton pourboire, a déclaré Pascal.
- Merci Monsieur-dames a bredouillé le gamin en rougissant et en plongeant son regard entre nos cuisses.
Ma fille en a même rajouté en se passant un doigt sur les lèvres de la chatte et j'ai cru qu'elle allait se branler là devant le gamin. C'en était trop pour lui et il s'est sauvé en cuisine.
En rigolant nous nous sommes rajustées et après avoir réglé la note au maître d'hôtel, nous nous sommes rendus au parking pour récupérer notre voiture.
Pascal s'est mis entre nous deux pour nous prendre par la taille. A peine éloignés de quelques mètres, il a relevé nos jupes dévoilant nos fesses nues et nous a obligées à continuer à marcher ainsi les fesses à l'air.
Angoissée, je me suis retournée pour apercevoir le maître d'hôtel qui ne perdait pas une miette du spectacle en rigolant.
Je me suis dit qu'il ne valait mieux pas que je revienne un jour dans ce restaurant, mais j'étais tellement excitée par la situation que j'accentuais le déhanchement de mes reins pour m'offrir en spectacle.
Une fois tournés au coin du parking et donc à l'abri des regards, Pascal s'est arrêté pour nous laisser marcher devant lui en nous demandant de relever nos jupes.
Il a alors pris des photos, puis nous a demandé de les retirer complètement.
En rigolant nous avons retiré nos jupes et mon gendre a continué de prendre des photos. Nous prenions des poses suggestives et ma fille, de plus en plus excitée, a retiré son chemisier pour se retrouver entièrement nue, à l'exception de ses bas, de ses chaussures et de son sac à main, en plein milieu du parking.
- Retire ton chemisier aussi, Belle-maman !
J'ai obéi et dans la même tenue que ma fille, nous avons rejoint la voiture sous les éclairs du flash de l'appareil photo de mon gendre.
Avant d'ouvrir la voiture, Pascal m'a demandé de lui donner ma jupe et mon chemisier et a pris ceux de ma fille. Sans songer à protester, je lui ai donné mes habits qu'il a rangé dans le coffre de la voiture avant de se mettre au volant.
C'est donc nues ma fille et moi que nous avons grimpé à l'arrière de l'auto et c'est ainsi que nous avons fait le voyage de retour vers la maison en traversant la ville, heureusement peu fréquentée à cette heure-là car il était aux environs de minuit.
Pendant le voyage ma fille avait plongé entre mes cuisses pour me lécher divinement et nous nous sommes mises en 69 pour nous dévorer la chatte.
Je ne mis pas longtemps à jouir tellement j'étais excitée par la séance du restaurant et j'inondais la bouche de ma fille en poussant un cri libérateur alors qu'elle aussi jouissait sous ma langue.
Pascal nous dit en riant :
- Eh les filles, gardez un peu de force pour moi car vous m'avez bien fait bander et je compte bien vous baiser en rentrant !
J'y comptais bien aussi car, excitée comme jamais, j'avais envie de sa queue au fond de mon ventre et pourquoi pas de lui offrir mon pucelage anal, ce dont je mourrai d'envie.
En arrivant devant le portail de la maison, mon gendre a stoppé la voiture et a ordonné :
- Allez les filles, ouvrez moi le portail !
J'ai voulu protester que l'on était nues mais dans son regard, j'ai compris que ce n'était pas la peine et d'ailleurs ma fille avait déjà ouvert la portière et sortait de la voiture.
Heureusement à cette heure-là, le quartier était désert et après avoir vérifié qu'il n'y avait personne dans la rue, je suis sortie à mon tour de la voiture pour aller aider ma fille à ouvrir le portail.
Alors que nous étions de chaque côté du portail, entièrement nues dans la lueur des phares, mon gendre est sorti de la voiture pour faire une dernière photo.
J'ai quand même protesté pour lui dire de se dépêcher car je n'avais pas envie être surprise dans cette tenue devant chez moi.
Il a rigolé et a finalement rentré la voiture. Nous avons récupéré nos sacs à main et alors que j'ouvrais la porte d'entrée, toujours nue, jetant un coup d'œil inquiet aux alentours, j'ai reçu un coup de poignard dans le cœur en apercevant la silhouette de mon voisin d'en face, Monsieur B. qui était sur son balcon et sans doute attiré par le bruit de la voiture, n'avait certainement pas perdu une miette de la scène.
Morte de honte, je me suis réfugiée dans la maison. Je devais avoir blêmi car ma fille me demanda si ça allait.
J'ai répondu oui, ça va mais quelle soirée !
- Et elle ne fait que commencer, a ajouté mon gendre en s'affalant sur le canapé et en commençant à déboutonner sa braguette ...
- Vous m'avez bien excité mes salopes, maintenant il va falloir me faire jouir, a déclaré mon gendre en retirant sa chemise et son pantalon sous lequel il ne portait pas de slip.
- Belle-maman, sois gentille d'aller ouvrir une bouteille de Champagne, on va finir cette soirée en beauté et toi ma chérie, si tu as envie de sucer une grosse queue, c'est le moment !
Je me suis rendue à la cuisine pour chercher une bouteille et des flûtes puis je suis revenue dans le salon et c'est là que j'ai réagi à la situation.
J'étais là debout avec mon plateau, entièrement nue avec seulement mes bas et mes chaussures, devant ma fille dans la même tenue que moi et qui maintenant suçait consciencieusement la queue de son homme en trémoussant son derrière. Mais le pire c'est que nous étions dans le salon, lumières toutes allumées, volets grands ouverts alors que la porte-fenêtre donne sur la rue.
Certes, la maison étant surélevée, on ne pouvait pas nous voir de la rue, mais je resongeai à Monsieur B., mon voisin d'en face qui, s'il était encore sur son balcon, ne devait rien manquer du spectacle.
A l'évidence, étant donné le spectacle que ma fille et moi lui avions involontairement offert en arrivant, il devait certainement être là à se rincer l'œil.
N'osant pas m'approcher de la fenêtre afin de l'ouvrir pour fermer les volets, j'ai demandé à Pascal et Claire :
- Et si nous allions finir la soirée dans la chambre ?
- T'es bien pressée de te retrouver au lit, m'a répondu mon gendre, t'inquiètes pas, tu ne perds rien pour attendre, on a toute la nuit pour baiser. Donne la bouteille, je vais servir le champagne et aide donc plutôt Claire à me faire jouir !
Vaincue, je me suis exécutée, me plaçant de l'autre côté des jambes de Pascal. Ma fille a alors interrompu sa fellation pour me laisser la place.
J'ai embouché le sexe de Pascal en me traitant intérieurement de salope. Je m'imaginai mon voisin en train de me voir nue avec une grosse queue en bouche et ça m'excitait comme une dingue.
Le plaisir que j'avais ressenti jusque-là de m'exhiber devant des inconnus était surmultiplié sous le regard (supposé) de quelqu'un de mon entourage et je me demandai si Monsieur B. était en train de se branler en regardant la queue de Pascal aller et venir alternativement de ma bouche à celle de ma fille.
Pascal a débouché la bouteille et a déclaré :
- On va se faire un cocktail d'amour !
- Oh oui, s'est écrié ma fille après avoir relâché le membre de Pascal.
- Karinne, branles moi, il faut que je jute dans la bouche de Claire.
J'ai saisi sa queue et j'ai commencé à le branler de plus en plus fort.
- Hum, c'est bon, oui plus vite ça vient !
J'ai accéléré mes va-et-vient sur sa superbe colonne alors que Claire pointait sa langue et sa bouche grande ouverte à un centimètre de son gros gland prêt à exploser.
- Vite Chérie, je jouis !
Ma fille a alors gobé la bite de Pascal et j'ai senti les jets de foutre fuser sous mes doigts.
- Continues de me branler, Karinne, que je me vide bien !
J'ai continué à branler sa queue doucement alors qu'il finissait de se vider dans la bouche de Claire.
Et là, ma fille a fait un truc d'une perversité que je n'imaginais pas.
Saisissant une flûte à Champagne, elle a recraché dedans tout le sperme accumulé dans sa bouche.
Moi, éberluée, je continuais machinalement de branler Pascal ce qui eut pour effet de faire ressortir une dernière coulée de sperme que ma fille a recueillie avec sa langue pour la déposer également dans le verre.
J'ai enfin lâché la queue de Pascal alors qu'il se redressait. Saisissant la flûte pleine, il entreprit de remplir avec son contenu les deux autres, s'appliquant à partager en trois parts égales le résultat de sa jouissance.
Puis il versa alors le champagne dans les verres pour compléter le breuvage.
Ma fille pendant ce temps revenait de la cuisine avec une petite cuillère et commença à mélanger le sperme et le Champagne dans les verres.
- Et voilà, cocktail de jus de couilles au Champagne, excellent aphrodisiaque, déclara Pascal en nous tendant une flûte à chacune.
Il prit la sienne et la porta à ses lèvres.
- Allez les filles, cul-sec !
Puis il avala d'une traite le contenu du verre, imité par ma fille. Encore grisée par l'alcool déjà absorbé pendant la soirée et la perversité de la situation, j'ai porté le verre à mes lèvres et j'ai avalé son contenu d'un seul jet.
- Bravo, a crié ma fille et ils m'ont applaudie.
Pascal a alors de nouveau rempli les verres et s'est affalé entre nous deux sur le canapé.
Après avoir bu une rasade de Champagne, il s'est exclamé :
- On n'est pas bien là ? On devrait être toute l'année en vacances ! Bon on finit la bouteille et on va se coucher !
En disant ça, il avait posé sa main droite sur le le sexe de ma fille, lui enfonçant un doigt dans le vagin et sa main gauche faisait de même à l'intérieur de ma chatte.
Je commençais à être de plus en plus saoule mais je sentais en moi une envie de sexe et je mourais d'envie de sentir la queue de Pascal dans ma chatte.
Ma fille devait être aussi excitée que moi car elle avait pris en main le sexe de son homme et le branlait doucement en l'embrassant.
Pascal la repoussa gentiment, sans doute était-il lui aussi fatigué par cette folle journée.
- Chérie t'es mignonne mais n'oublies pas qu'on est là pour le plaisir de ta mère. Je suis un peu crevé mais je veux garder mes dernières forces pour enculer ta mère, on lui doit bien ça !
Ces paroles me firent l'effet d'un coup de poignard dans le ventre. Complètement excitée, j'ai demandé à mon gendre :
- Oui, Pascal, je veux que ça toi qui me prenne le cul pour la première fois. Je veux jouir du cul, je veux jouir encore, s'il te plait, baise moi !
Je ne me reconnaissais plus, oubliant mon supposé voisin voyeur, je n'avais plus qu'une envie : JOUIR !!!
Pascal s'est mis à ricaner et finissant son verre, s'est levé pour me prendre par la main et m'entraîner vers l'étage.
J'ai trébuché en me relevant et je sentais que je commençais à être vraiment pompette et j'étais presque déçue qu'il ne me prenne pas là, sous le regard de mon voisin.
- Claire, sois gentille de débarrasser, nous on monte se coucher car ta mère commence à être très fatiguée !
- Je range tout et j'arrive !
Pascal m'a fait passer devant dans l'escalier et je suppose qu'il devait se régaler de la vue de mes fesses nues mises en valeur par les bas.
Je fus surprise lorsqu'il m'entraîna dans ma propre chambre et de penser que j'allais me faire enculer (ce mot résonnait dans ma tête, m'excitant au possible) sur le lit conjugal me fit mouiller comme une folle.
Pascal s'allongea sur le lit et me fixant me dit :
- Allez Belle-maman, viens me sucer, que je sois bien dur !
Je m'exécutais et pris une nouvelle fois son membre en bouche, me pourléchant de son gland, de sa tige et passant ma langue sur ses bourses dures et lisses.
Soudain, il se releva et me faisant mettre à quatre pattes, il passa derrière moi. Il écarta mes fesses et je sentis sa langue forcer mon anus. C'était divin et je sentais que j'étais prête à le recevoir en moi.
Pointant sa queue à l'entrée de ma chatte, il s'y enfonça d'une longue poussée, m'arrachant un râle de plaisir. Après quelques va-et-vient, il se retira de mon sexe pour poser son sexe sur mon anus.
- Belle-maman je vais t'enculer tu sais, tu veux ?
- Oui, vas-y, j'ai envie, ai-je crié.
Il a alors poussé son gland contre mon anus mais malgré mon envie, je me contractais et son sexe n'arrivait pas à forcer mon petit trou.
- Relax Belle-maman, détends-toi, d'une manière ou d'une autre, je vais te le perforer ton cul, alors mets-y du tien !
Ma fille arrivant alors se rendit compte de la situation.
- Chéri, arrêtes de te comporter comme un soudard ! Tu sais bien que Maman est vierge de ce côté-là !
Elle monta sur le lit et vint m'embrasser.
- Tu veux vraiment, Maman ?
- Oui, je le veux mais j'ai un peu peur, tu comprends ?
- T'inquiètes pas, Maman, je vais t'aider !
Elle partit dans la salle de bain et revint avec un pot de crème de beauté. Prenant une dose de crème dans sa main, elle commença à me badigeonner l'anus avec, faisant pénétrer un doigt puis deux dans mon cul, introduisant ainsi la crème dans mon fondement.
La fraîcheur de la crème contrastait avec la chaleur de mon sexe brûlant et me fit frissonner.
Claire enduisit ensuite le sexe de Pascal de crème et lui dit :
- Voilà, ça devrait aller mieux mais vas-y doucement, hein chéri ?
Mon gendre repointa alors sa bite à l'entrée de mon cul et poussa de tout son poids sur moi.
Je sentais son gland contre mon petit trou et ma fille me caressait les cheveux tendrement.
Puis tout d'un coup, j'ai senti mon anneau s'ouvrir et le gland de Pascal me pénétrer. Tout de suite après, j'ai senti mon cul se refermer sur sa queue et cette douleur et cette présence entre mes fesses m'ont fait réaliser que ça y était, il était entré dans mon cul.
Pascal appuyait sur mes fesses pour les écarter et moi j'essayais de reprendre ma respiration.
- Doucement, a dit ma fille en regardant la pine de son homme figée dans mon derrière.
- Ca va, Maman ?
- Oui, c'est bon, ai-je répondu.
- Détends-toi, tu vas voir comme c'est bon !
J'ai alors senti Pascal commencer à remuer entre mes fesses, s'enfonçant progressivement dans mon cul.
La pénétration était à la fois douloureuse et à la fois jouissive. Je me sentais pute de me faire prendre ainsi et sous les yeux de ma fille en plus.
Pascal s'enfonça d'un coup dans mon rectum et je me suis mise à crier de douleur et de plaisir. J'avais l'impression que l'on m'enfonçait une barre de fer dans le ventre et j'ai failli m'évanouir.
J'ai eu la force de dire à Pascal d'arrêter car j'avais l'impression d'être déchirée.
Heureusement, il s'immobilisa en déclarant :
- Putain, qu'elle est serrée !
Ma fille de nouveau me caressait le visage et m'embrassait.
- Ca va Maman ?
- Oui ma chérie mais il est si gros, si long ...
- Tu sais, il n'est même pas rentré à moitié encore !
Je suis restée sans voix. Je me sentais tellement pleine que je pensais qu'il m'avait introduit sa queue en entier.
- Chéri, tu la laisses s'habituer, hein ?
Il ne répondit pas, se contentant de légers mouvements de sa queue dans mes entrailles.
Progressivement, je commençais à m'habituer à ce pieu de chair dans mon orifice et je me suis mis à onduler d'avant en arrière, sentant sa queue aller de plus en plus profond à chaque fois.
- Elle commence à aimer ça, hein ? Regarde-la se tortiller sur ma bite !
Passant ses mains sous mon corps, Pascal me saisit alors par les seins et se mit à me donner des grands coups de reins, faisant coulisser son membre dans mon cul de plus en plus loin.
- Putain que tu es serrée ! T'as vraiment un cul de vierge !
J'ai glissé ma main sous moi pour me branler le clito car je sentais que j'allais jouir et tout d'un coup, Pascal s'est écrié :
- Ah, ça y est Claire, je suis au fond de son cul !
J'ai senti ses couilles buter contre ma chatte et il s'est immobilisé. De le sentir en entier en moi me clouant de douleur a déclenché mon orgasme et j'ai joui en hurlant.
Puis Pascal a de nouveau repris ses va-et-vient, me labourant l'anus de son engin d'amour avec des coups de plus en plus forts, de plus en plus amples et de plus en plus rapides.
Il se déchaînait désormais dans mon cul en me traitant de tous les noms.
Chaque poussée de sa queue dans mes reins me tordait de douleur mais aussi de plaisir.
Ma fille s'est postée devant moi les jambes écartées poussant son sexe vers ma bouche.
J'ai plongé ma langue dans sa chatte humide pendant qu'elle me caressait les cheveux.
- Oui, Maman, fais moi jouir, on va jouir ensembles tous les trois !
Pascal me donnait des coups de boutoir de plus en plus violents et je n'étais plus qu'une poupée désarticulée coincée entre sa bite et la chatte de ma fille qui tenant ma tête à deux mains me plaquait le visage contre son sexe trempé.
- Ah salope, je vais jouir, ça y est ! Je te remplis le cul Belle-maman !
Pour la première fois de ma vie, j'ai senti des giclées chaudes de sperme au fond de mon cul et ça m'a déclenché une nouvelle jouissance alors que ma fille barbouillait mon visage de la sienne.
Nous nous sommes effondrés tous les trois les uns sur les autres, puis Pascal s'est retiré de mon anus.
- Ah quel pied mes chéries ! Merde je suis tout dégueulasse !
Je sentais tout à coup une étrange sensation de vide dans mes reins et en un éclair je repensais à la vision de l'anus ouvert de ma fille le matin-même et je me suis dit que mon trou devait être dans le même état.
Regardant la bite de son homme, Claire déclara :
- Oui, tu peux aller te laver mon cochon !
Avec honte, j'ai regardé la queue encore à moitié raide de mon gendre. Elle était complètement souillée d'un mélange de sperme, de crème et de mes excréments.
Pendant qu'il partait sous la douche, je me suis précipitée dans les toilettes pour vider ma vessie et mes intestins.
Lorsque je suis revenue, Pascal était étendu sur le lit et semblait dormir alors que ma fille était dans la salle de bain.
J'ai attendu qu'elle sorte pour à mon tour aller me doucher.
Sortant de la douche, je me suis regardée dans le miroir, j'avais une sale tête avec des cernes sous les yeux. Mon anus me faisait souffrir, mais je venais de prendre un pied terrible.
J'ai rejoint Pascal et Claire dans le lit et nous nous sommes endormis tous les trois enlacés.
Ce sont les mouvements du lit qui m'ont réveillée le lendemain.
Pascal était allongé sur le dos à mes côtés et Claire était empalée sur sa queue et le chevauchait.
- Mais vous n'arrêtez donc jamais tous les deux !
- Jamais, c'est trop bon, a répliqué ma fille.
Je me suis levée pour me rendre à la salle de bain laissant les amoureux à leur occupation du matin.
J'avais un léger mal de crâne, signe d'abus d'alcool, et mon anus endolori me rappela la folle soirée de la veille.
La journée et celles qui suivirent furent plus calmes.
Nous passions la plupart du temps nus autour de la piscine et nous finissions nos soirées tous les trois dans le même lit où nous avons expérimenté, je pense, tout ce que deux femmes et un homme peuvent faire dans un lit.
Pascal ne se privait pas de me perforer l'anus, ma fille m'avouant que c'était son péché mignon, et à la douleur des premières fois succédait maintenant un plaisir sans limite.
Je regrettais désormais de ne pas avoir offert ce plaisir à mon mari.
La veille de leur départ, Pascal partit seul en ville faire des courses pendant que ma fille et moi nous nous installions autour de la piscine pour une nouvelle séance de bronzage.
Il revint vers midi, m'appelant du salon :
- Belle-maman, viens voir s'il te plaît !
Je pensais qu'il voulait me montrer ses achats et je me suis levée du transat pour le rejoindre au salon, suivie de ma fille.
Lorsque que je suis entrée dans le salon pour lui demander ce qu'il voulait, je l'ai trouvé en compagnie de mon voisin Monsieur B.
Je me suis figée sur place car évidemment j'étais nue et ma fille aussi.
- Belle-maman, Monsieur B. voulait nous inviter à l'apéro ce midi, j'ai préféré lui retourner l'invitation et je lui ai dit de venir plutôt le prendre chez nous, j'ai bien fait, non ?
- Euh ... Oui, tu as bien fait, ai-je balbutié, troublée par ma nudité face à mon voisin dont le regard allait de mon corps à celui de ma fille.
- Bonjour Madame S., merci mais je vois que je vous dérange, a lancé mon voisin en me tendant la main et en s'avançant vers moi.
Machinalement je lui ai serré la main pendant que Pascal affirmait :
- Mais non, vous nous dérangez pas, ma femme et sa mère pratiquent le naturisme à la maison, j'espère que cela ne vous choque pas ?
- Non, bien au contraire, a répondu Monsieur B.
- Soyez le bienvenu, a insisté ma fille en lui tendant la main.
- Bien asseyons nous, a déclaré Pascal en désignant le canapé à mon voisin.
Heureusement ma fille vint à mon secours.
- Viens Maman, on va aller chercher les verres et elle m'entraîna dans la cuisine.
Une fois dans la cuisine, j'ai dit à ma fille :
- Pascal est fou, je suis morte de honte !
- Mais non Maman, tu es belle et tu n'as pas à avoir honte de te montrer. D'ailleurs, tu lui plais bien à Monsieur B., ça se voit car je peux te dire qu'il bandait en te regardant !
- Tu as vu ça toi ?
- Bien oui, tu n'as pas vu la bosse de son pantalon ?
- Je n'ai pas le regard vicieux comme toi, moi ! ai-je répliqué en souriant.
Ma fille a éclaté de rire et a déclaré :
- Allez, on va l'allumer un peu ce brave homme, il ne doit pas avoir eu souvent l'occasion de se trouver face à deux nanas à poil comme nous !
La situation commençait à m'exciter et après avoir pris une bonne respiration, je repartis vers le salon, décidée à jouer mon rôle de chienne en chaleur que j'étais devenue en quelques jours.
En arrivant dans la pièce, je jetais un regard discret vers la braguette de mon voisin. Ma fille avait raison, il bandait fort !
Je déposais les verres sur la table basse. Ma fille posa les amuses-gueules et s'assit dans un fauteuil en face de Pascal, écartant largement les jambes, dévoilant ainsi toute sa fente à Monsieur B.
Le plus naturellement possible, j'ai demandé à mon voisin ce qu'il désirait boire. J'ouvris le bar se trouvant sous la télévision et je me suis penchée en avant pour saisir les différentes bouteilles.
J'avais pris soin de ne pas plier les jambes et même de les écarter un peu et j'étais certaine de dévoiler ainsi à tout le monde mon sexe et mon anus et cette pensée me fit mouiller.
Une fois les verres servis, je me suis assise dans le fauteuil restant, c'est-à-dire en face de mon voisin.
Pascal discutait avec mon voisin comme si de rien était et moi je voyais de lui que la bosse qui déformait son pantalon et je repensais que quelques jours avant, il devait m'avoir vue en train de sucer mon gendre.
Cette pensée m'excitait de plus en plus et comme ma fille, j'écartais désormais largement mes jambes, offrant la vue de mon intimité à cet homme, certes d'un certain âge (63 ans), mais a priori encore très viril si j'en jugeais par la déformation de son pantalon.
La situation était excitante. Tous les quatre en train de discuter de la pluie et du beau temps alors que ma fille et moi étions entièrement nues devant ces hommes eux habillés.
- Un autre Pastis, Monsieur B., ai-je demandé à mon voisin alors que son verre était vide.
- Volontiers, mais vous pouvez m'appeler Serge !
En disant cela, mon voisin avait plongé son regard dans le mien et le désir que j'ai lu dans celui-ci a fait tomber mes dernières réticences.
J'ai resservi tout le monde et Pascal a alors demandé à Claire de venir près de lui. Ma fille s'est exécutée venant se blottir dans les bras de mon gendre.
Poursuivant la conversation, Pascal a posé sa main sur la cuisse de sa femme et a commencé à la caresser distraitement.
Je sentais le désir monter en moi et je savais désormais que la situation pouvait dégénérer d'un instant à l'autre.
Serge me parlait de choses et d'autres quand tout à coup, il se tut.
Je suivi son regard. Pascal avait désormais enfoui deux doigts dans le sexe de ma fille et les faisait aller et venir, lui déclenchant des soupirs de satisfaction.
Plus personne ne parlait et sous mon regard et celui de Serge, ma fille déboutonna le pantalon de Pascal pour en faire jaillir sa queue dressée et l'engloutir dans sa bouche et commencer une fellation langoureuse.
- Voilà un apéritif comme je les aime, a déclaré mon gendre. Belle-maman, vous n'allez pas laisser Serge se contenter de regarder, j'espère ?
Le salaud me demandait d'en faire autant avec mon voisin, mais je n'avais pas besoin de son avis car j'en avais désormais une envie folle.
Je me suis levée pour venir m'agenouiller entre les jambes de Serge et j'ai sorti sa bite de son pantalon.
Elle n'était pas très longue mais très large avec un gland comme un gros champignon encore plus gros que celui de mon gendre.
J'ai avalé tant bien que mal ce gros bourgeon et j'ai commencé à lui donner des coups de langue.
- Ah, Madame S., comme c'est bon, ah, si j'avais su, depuis le temps que j'en rêve, a déclaré Serge qui était visiblement aux anges.
- Elle suce bien ma belle-mère, hein ?
- Oui, ah garce, pompe moi tout, ah, salope, je t'ai vu l'autre jour en train de pomper la bite de ton gendre et de te trimballer à poil dans la rue. Ah cochonne, je me suis bien branlé en pensant à ton cul de vicieuse !
Tout en délirant, il appuyait sur ma tête pour me faire avaler sa queue en entier et j'avais le nez collé dans les poils de son pubis. J'ai plongé ma main dans son pantalon pour prendre dans mes doigts deux grosses couilles poilues et à l'évidence bien pleines.
- Ah oui, garce, je vais les vider mes couilles dans ta bouche !
Mon voisin délirait de plus en plus et me tenant la tête, faisait aller et venir ma bouche sur sa queue de plus en plus dure.
- Avale tout garce !
Sa queue s'est alors mise à palpiter dans ma bouche et il a éjaculé copieusement en criant.
J'ai failli m'étouffer tellement il se vidait dans ma gorge. En bonne salope, j'ai tout avalé et je me suis appliquée à lui nettoyer la queue en le regardant dans les yeux.
Sa queue ne débandait pas et il a déclaré :
- Ca fait trop longtemps que j'en ai envie, mets toi à quatre pattes que je t'encule.
Je n'avais pas joui et tout mon corps réclamait sa queue alors je me suis mise à genoux sur le tapis du salon.
Pendant qu'il enlevait son pantalon et son slip, j'ai regardé ma fille qui était désormais empalée sur la queue de Pascal qui lui donnait de violents coups de reins.
- Regarde Claire, ta chienne de mère va se faire sauter par son voisin, quelle salope, tu aimes ça la bite, hein ? a déclaré mon gendre.
Hystérique, j'ai crié :
- Oui, j'aime ça, Serge, venez me baiser vite !
Je m'apprêtais à recevoir la queue de mon voisin dans mon cul et pourtant je continuais à le vouvoyer !
Serge s'est agrippé à mes hanches et j'ai senti sa queue pousser contre ma vulve trempée dans laquelle il s'est enfoncé d'un coup, déclenchant un orgasme dans mon ventre.
Il a commencé alors à me baiser comme un fou en me traitant de tous noms. J'ai rejoui deux fois avant de m'écrouler à plat ventre par terre, repue de jouissance mais Serge n'avait toujours pas éjaculer et continuait à me pistonner la chatte.
Pascal lui avait joui et abandonnant ma fille sur le canapé et venu se planter devant moi. Il m'a relevé la tête et a posé son gland contre ma bouche.
J'ai alors commencé à le sucer pendant qu'il déclarait :
- Il te baise bien ton voisin, regardez Serge comme elle aime ça la queue, ma belle-mère !
- Ah quelle salope, si j'avais su, il y a longtemps que je lui aurai proposer la botte !
Je me sentais avilie mais ces deux queues en moi me comblaient. C'était pour moi une première et je n'arrêtais pas de jouir.
Je n'étais plus qu'une chienne en chaleur, baisée par deux mâles sous les yeux de ma fille.
Tout à coup, Serge a poussé un rugissement et j'ai senti son sperme se répandre dans ma chatte.
S'arrachant de moi, il s'est rassit dans le canapé. Pascal a alors délaissé ma bouche pour venir derrière moi pour poser sa bite contre mon anus.
Sans difficultés désormais, il s'est enfoncé dans mon boyau brûlant, m'arrachant un cri de jouissance.
- Ah regardez Serge, comme elle aime être enculée, je lui rentre jusqu'aux couilles. Après vous pourrez vous aussi lui défoncer le cul, elle adore ça, Claire remets en forme Monsieur !
Bien que mon voisin venait de me baiser et que mon gendre était en train d'aller et venir entre mes fesses, la plus grande honte que j'ai ressentie, c'est de voir ma fille docilement obéir à son homme et venir engloutir la bite de Serge dans la bouche pour le pomper.
Serge n'en demandait pas tant et n'arrêtait pas de dire :
- Quelles salopes ces deux là, mais quelles salopes !
Pascal s'est alors retiré de mon anus et après s'être allongée sur le tapis m'a fait grimper sur lui pour que, face à lui, je m'empale sur sa queue.
Il m'a attirée vers lui, plaquant mes seins contre sa poitrine et de ses mains à écarter mes fesses.
- Serge, venez l'enculer, on va la baiser à deux !
Mon voisin ne s'est pas fait prier et se positionnant derrière moi, il s'est enfoncé dans mon cul ouvert.
La sensation de ces deux queues en moi (encore une première pour moi) était inouïe et lorsqu'ils ont commencé à me pilonner ensemble, je suis devenue comme folle, leur criant de m'éclater, de me défoncer et j'ai eu un orgasme terrible sous les yeux de ma fille qui elle se branlait furieusement devant le spectacle que nous lui proposions.
Les deux queues allaient toujours en moi, s'enfonçant parfois ensemble, parfois alternativement dans mes orifices. C'est Pascal qui jouit le premier dans ma chatte suivi quelques secondes après par Serge dans mon anus.
La tension retombée, je me suis enfuie dans la salle de bain pour nettoyer mon corps souillé. Ma fille m'a rejoint quelques minutes après et lorsque nous sommes redescendues, Serge était parti sans même avoir fini son apéritif.
L'après-midi fut consacré à une bonne sieste réparatrice autour de la piscine et le soir nous avons passé notre dernière nuit tous les trois ensemble où Pascal s'est une nouvelle fois servi de mes trois orifices.
Le lendemain matin, ils sont repartis, non sans m'avoir remerciée de la semaine passée chez moi et à mon tour, je les ai remerciés pour tout ce qu'il m'avait fait vivre.
J'ai repris le travail le lendemain mais désormais, je n'étais plus la même et il ne s'est pas passé une semaine depuis cette aventure sans que je ne me fasse baiser.
Il y eut plusieurs fois d'abord Serge qui ne se privait plus de venir chez moi pour se soulager, puis un homme rencontré au bureau et qui me draguant ouvertement, fût tout surpris que j'accepte son invitation à dîner à son hôtel et qui pour finir éjacula dans tous mes trous.
Le plus surpris de mon changement fût Daniel, un collègue de bureau, 35 ans, marié et père de famille, qui me draguait depuis de nombreuses années, même lorsque mon mari était encore vivant.
Nous avions pris l'habitude depuis longtemps de déjeuner ensemble le midi au restaurant, ce qui faisait jaser les commères du bureau.
Le lundi et le mardi de ma réembauche, il n'avait pas cessé de me complimenter sur mes nouvelles tenues (je m'habillais désormais plus court et plus sexy) et lorsque le mercredi, nous étions dans sa voiture, prêts à partir pour le restaurant et que j'ai posé la main sur sa braguette en lui disant que puisque nous avions qu'une heure devant nous, il valait mieux qu'on se passe de manger, il est resté estomaqué mais la bosse qui s'est instantanément formée dans son pantalon en disait long sur ses pensées.
Il m'a remplie la bouche de son sperme dans le parking souterrain de notre entreprise et nous avons terminé dans un hôtel "Formule 1" où pour la première fois de ma vie, un homme m'a enculée (à ma demande) avant de prendre possession de ma chatte.
Nous avons ensuite renouvelé 3 ou 4 fois nos ébats entre midi et deux mais je lui ai fait comprendre que désormais cela n'était plus possible car en fait, il s'est révélé être un piètre amant.
Depuis, j'ai connu encore quelques aventures avec d'autres hommes mais je n'arrive pas à retrouver les sensations de contrainte et de soumission que j'avais éprouvé avec mon gendre et je suis impatiente de les recevoir de nouveau pour les vacances de noël ...