L'été de mes 18ans, mes parents m'envoyèrent passer les vacances chez ma tante Hermine (la sur de ma mère) et mon oncle George, dans leur maison superbe, à Bruxelles. Mon oncle était diplomate, et il travaillait à l'OTAN.
Il avait donc choisi de venir habiter en Belgique avec ma tante.
Mais mon oncle voyageait beaucoup dans le monde entier, pour des missions politiques ou humanitaires, et ma tante restait seule trop souvent. Très BCBG, très bourgeoise, c'était une belle femme de 50ans, brune aux cheveux longs, mais qu'elle coiffait toujours en chignon relevé haut sur le crâne.
De beaux yeux verts, une taille assez fine, mais des hanches larges, et visiblement, une imposante poitrine. Elle avait un air hautain, très fière d'elle même, et se sentait supérieure à tout le monde. Elle avait une classe terrible, toujours vêtue de tailleurs Dior ou Chanel, veste et jupe, et portait chaque jour des talons hauts. Ses lunettes à montures d'écaille, lui donnait l'air d'une institutrice. La première semaine fut agréable, sans plus, et je suivais mon oncle et ma tante dans leurs soirées mondaines, me faisant chier comme c'est pas permis. Puis, mon oncle partit pour 15 jours au Canada, pour un congrès.
Je restai seul avec tante Hermine, dans sa grande demeure. Difficile de se faire des amis dans une ville comme Bruxelles, surtout à mon âge. De toute façon, je n'en cherchais pas vraiment, me bornant à étudier à la terrasse de certains cafés légèrement branchés. Ma tante passait ses journées dans son club de bridge pour femmes riches, ou à jouer au golf. Le soir, nous dînions tous les deux, puis elle montait dans sa chambre, tandis que je regardai la télé. Je la regardai avec curiosité. Je la trouvai ridicule, d'un certain côté, avec sa vie pleine de futilités, mais en même temps, elle m'excitait pas mal, car le charme de ses 50ans jouait sur moi. Et son look n'était pas non plus pour me déplaire. Je me demandais comment était sa vie sexuelle, avec mon oncle, mais vu que George avait 15ans de plus qu'elle, je savais qu'elle ne devait pas être à la fête souvent ! Un soir, lorsqu'elle monta dans sa chambre, j'attendis quelques minutes, puis montais l'escalier, me positionnant à genoux devant sa porte, et matant par le trou de la serrure... Elle était debout, près de sa coiffeuse, dans son impeccable tailleur gris perle, veste croisée, jupe aux genoux, talons hauts noirs, les jambes gainées de bas ou de collant chair, et un chemisier en mousseline blanche. Elle ôta sa veste, et la posa sur le lit. Je rendais grâce à George d'avoir fait installer un si bon éclairage dans sa chambre ! Tante Hermine sortit son chemisier de sa jupe, le déboutonna lentement, et l'ôta... Puis elle dégrafa son soutien-gorge, et me fit don de la vision d'une paire de sein superbe... Laiteux, lourds, avec de très larges aréoles brunes, et des tétons épais très bruns.
Elle devait faire du 100 C de tour de poitrine... Ces seins énormes qui tombaient sur son ventre donnaient un effet incroyable avec sa taille si fine.
Puis, sans quitter ses talons hauts, je la vis descendre le zip de sa jupe, les mains dans le dos. Et sa jupe tomba à ses pieds... Elle enjamba cette jupe, et j'eus une vision magnifique de ma tante, debout, face à moi, les seins à l'air...
J'eus le bonheur de voir qu'elle portait des bas, couleur chair, retenus par un porte-jarretelles blanc assez large. Elle portait aussi un boxer-short en soie, qui ne laissait pas la possibilité d'apercevoir son sexe. Je bandais comme un cerf, et sortis ma queue, afin de me masturber lentement, tout en pressant fort mon gland, à chaque passage de ma main. Je ne voulais pas éjaculer avant d'avoir tout vu. Tante Hermine se soupesa les seins, afin de les soulager de cette journée engoncés dans son soutien-gorge. Puis elle ôta son boxer-short... J'eus le surprise de voir qu'elle ne s'épilait pas, mais alors pas du tout !!! Son pubis était fabuleusement large, épais, noir ! Une touffe énorme qui lui montait sous le nombril, et envahissait l'intérieur de ses cuisses... Des poils noirs, très frisés, épais, denses... Elle joua un moment avec sa touffe, comme pour défaire les nuds des poils. Puis elle ouvrit le tiroir de sa coiffeuse et en sortit un gode énorme, tout noir, avec de grosses veines reconstituées. Un objet d'une indécence totale... Elle s'allongea sur son lit, face à la porte, et écarta ses cuisses, m'offrant la vision de son entrecuisse de bourgeoise bien chaude...
Ses poils entouraient sa fente. Les lèvres de sa chatte étaient très belles, comme je les aime, très foncées, charnues, longues et épaisses, presque pendantes, pleines de plis... Elle les écarta avec ses doigts, et s'enfonça d'un coup son gode... Tante Hermine gémissait, puis elle se branla avec une violence inouïe... Puis elle se mit à éructer des insanités, tout en se limant la chatte avec frénésie... Elle disait : "Hummm... C'est bon ! Oui, baisez-moi comme une traînée, bande de salops ! ... ça vous fait bander, hein, une vieille bourge bien chienne comme moi ! ... Défoncez-moi la chatte avec vos grosses bites d'ouvriers dégueulasses !!!" Tante Hermine s'offrit un orgasme intense, avec le gode bien au fond de sa chatte, et je ne pus m'empêcher d'éjaculer sur sa porte... Le lendemain soir, à la même heure, ma tante monta dans sa chambre, et je me plaçais à nouveau devant le trou de la serrure... Elle se déshabilla totalement, puis sortit de son armoire une petite valise... Elle en tira une panoplie que je n'imaginais même pas sur une femme comme elle ! Elle mis des bas résilles noirs, des talons hauts rouges vifs, et un serre taille en velours noirs...
Avec son chignon et ses lunettes, elle avait l'air d'une pute de luxe... Elle laissa sa chatte et ses seins à l'air, et s'assis devant le minitel... Je ne voyais pas ce qu'elle écrivait, mais au bout d'un instant, elle se mit à dire tout haut, ce qu'elle écrivait... Elle était branchée sur un minitel rose, et conversait avec un type...
- Je suis une vieille salope de 50ans... Et toi ? Puis elle lut la réponse...
- Mon Dieu, dit-elle, "Je m'appelle Eric, j'ai 18ans, j'aime les vieilles comme toi..." - Tu es bien jeune, petit salop... Je pourrais être ta mère, d'ailleurs, j'ai un neveu de ton âge... Le jeune type lui répondit : "Et ça t'excite de penser que tu pourrais être ma mère ou ma tante ?" Tante Hermine respirait vite, elle se caressa la chatte un moment en regardant l'écran, puis elle tapa sa réponse... - Oui, ça m'excite... Je fantasme beaucoup sur les petits jeunes... Si mon neveu voulait me baiser, je ne dirai pas non... Ils continuèrent un moment, tandis que je restais sous le choc d'une telle révélation... Je décidais de passer à l'action, espérant qu'elle pensait vraiment ce qu'elle venait de dire à ce jeune homme.
J'ouvris la porte doucement...
Elle ne me vit pas entrer... Je me postais derrière elle, la bite hors de mon pantalon, tendue vers son dos...
Je voyais sa main s'activer sur sa chatte... Elle se mit à écrire à nouveau, et cette fois, je voyais ses mots s'inscrire sur l'écran... - Si tu veux, je peux jouer à être ta tante... Ta tante salope que tu pourras baiser comme une prostituée...
C'est le moment que je choisis pour lui dire haut et fort... - Pourquoi jouer, ma tante, puisque tu as un neveu et qu'il est là ? ... Elle sursauta, et devint rouge de honte, cherchant à cacher son corps, voyant ma queue tendue vers elle. - Mon Dieu... Que fais-tu là ? ... Je... Tu ne dois pas... Ne dis jamais ce que tu viens de voir... Excuses-moi... - Ne t'excuses pas tante Hermine... Profite plutôt de ce que tu as sous les yeux...
- Non... C'est mal tu sais!... c'est de l'inceste !... - Je crois que ça t'excite, non ? C'est ce que tu disais à ce type, en te branlant...
- En me...! Elle fut choquée de mes mots, mais je voyais bien qu'elle était à point... Je pris sa main, et l'entraînait sur son lit, sans qu'elle ne se débatte... - Si j'accepte, tu jures de n'en parler à personne ? - Oui, tante Hermine... Juré!... Elle se jeta alors littéralement sur ma queue, l'engloutissant, en gémissant, me pompant comme la dernière des putes, en massant mes couilles, comme si elle n'avait pas vraiment touché une bite depuis des années...
Puis, elle me dit : - Défonce-moi... Fais de moi ce que tu veux ! ... Baise-moi comme si j'étais une pute dans la rue... Je lui écartais les cuisses, matant sa chatte en détail, la traitant de grosse salope, avant de poser mon gland sur ses lèvres gonflées.
- Vas-y ! Baise-moi ! Baise ta salope de tante ! Je ne me fit pas prier, m'enfonçant d'un coup jusqu'aux tréfonds de sa moule brûlante et trempée. Puis j'intimai un rythme effréné, coulissant dans sa chatte comme dans du beurre, tant elle était lubrifiée. Elle me regardait droit dans les yeux, avec un air que je n'avais guère vu que chez les actrices pornos. - C'est bon ! Tu me défonces bien, petit salop ! Vas-y fort ! Profites de la chatte de ta tante ! Sois dégoûtant avec moi ! Souille-moi ! - Tu veux jouer les putes, tante Hermine ? ... Alors mets-toi à quatre pattes, comme une chienne, et écarte ton cul, vieille pouffe ! Elle s'exécuta, surexcitée, écartant de ses deux mains ses fesses, ce qui fit s'ouvrir sa chatte rouge sang... Je me mis à la défoncer par derrière en agrippant ses hanches, me satisfaisant du spectacle de ses fesses qui allaient et venaient comme des vagues de chair, à chacun de mes coups de queue. Elle hurlait les pires insanités du monde, me jurant que je pourrais toujours profiter de son corps, quand je le voudrais, et que si je le voulais, je pourrais même la baiser avec des copains de mon âge...
Elle jouit plusieurs fois, et je dus faire un exploit pour ne pas exploser rapidement...
Puis elle me supplia de lui jouir dans la gueule. - S'il te plait, éjacule sur moi... sur mon visage de salope, dans ma bouche !... Je me mis à me branler devant son visage, frénétiquement, tandis qu'elle m'excitait avec ses perversités... - Vas-y ! Viens ! Tu vas voir, je vais tout lécher, je vais avaler tout ton foutre ! Ton sperme bien chaud, et bien dégueulasse ! Mets m'en partout ! Ma queue frémit, et je sentis venir de très loin des flots de sperme qui s'écrasèrent sur ses lunettes, sur ses joues, et droit dans sa bouche qu'elle gardait ouverte, la langue tendue... Puis je la vis déglutir mon foutre, tandis que les restes coulaient sur ses joues... D'une main, elle étalait ma semence, puis lécha ses doigts...
Quelques minutes plus tard, elle me remercia, en me donnant notre premier baiser... Et elle m'assura que je pourrais vraiment venir la rejoindre quand je le voudrais, à la condition de la baiser sans retenue, sans respect de son rang social, comme une prostituée, et à chaque fois... Et en bon neveu aimant, je satisfais depuis tous les orifices de ma tante, dès que mon oncle part au boulot.
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